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Berger : 18 voitures, "le minimum absolu" pour le DTM

Gerhard Berger, le nouveau président de l'ITR, promoteur du Championnat DTM, pense que la réduction à 18 voitures cette saison est le "minimum absolu" que la série peut se permettre.

Essai de départ

Photo de: Alexander Trienitz

Gerhard Berger, sur la grille
Mike Rockenfeller, Audi Sport Team Phoenix, Audi RS 5 DTM
Timo Glock, BMW Team RMG, BMW M4 DTM
Paul Di Resta, Mercedes-AMG Team HWA, Mercedes-AMG C63 DTM
Lance Stroll avec Gerhard Berger
Maxime Martin, BMW Team RBM, BMW M4 DTM
Start practice

Audi, BMW et Mercedes ont réduit leur nombre de voitures de huit à six unités en 2017, pour une réduction globale de la grille de départ de 24 à 18.

Ce cas de figure avait déjà été observé en 2011, l'année précédent celle de l'arrivée de BMW en DTM, et Berger – nommé à son poste le mois dernier après un remaniement de l'équipe de l'ITR – ne pense pas que ce championnat devrait se disputer avec un plateau encore davantage réduit. "18 voitures, ok, mais de mon point de vue, c'est le minimum absolu", a-t-il expliqué.

"Pour le futur, j'aimerais voir une grille de DTM plus fournie. Malgré tout, je m'attends à ce que le championnat soit vraiment excitant, et le changement de réglementation contribuera à accroître son intérêt."

"Nous nous servirons de la saison 2017 pour examiner de façon précise la situation actuelle. Puis nous travaillerons avec les constructeurs pour définir les plans pour les années à venir. Tout en faisant cela, il est d'une importance capitale de garder un œil sur ce que veulent les fans, et de leur offrir de belles compétitions. Puis nous continuerons à améliorer le DTM pas à pas, avec les mesures appropriées."

Un rapprochement à venir avec le Super GT japonais

Le DTM a apporté de nouveaux changements à ses formats de week-end pour cette année, avec les courses du samedi et du dimanche de même durée, ponctuée d'arrêts aux stands pour chacune d'entre elles. La discipline présente également une nouvelle plateforme technique, même si elle n'adopte pas encore la nouvelle réglementation prévue initialement dans le cadre d'un rapprochement avec le championnat Super GT japonais.

Le passage à un moteur turbo quatre cylindres a été repoussé à 2019, afin d'amortir les coûts de développement des trois constructeurs actuellement présents dans la discipline.

Depuis sa renaissance en 2000, le DTM n'a jamais connu quatre constructeurs la même année, et Berger admet qu'aucune nouvelle marque n'est à attendre procainement.

"Si nous continuons à renforcer la plateforme du DTM, la série deviendra intéressante pour les autres constructeurs", ajoute-t-il. "C'est une chose pour laquelle je suis optimiste. Mais, à ce stade, nous ne sommes pas dans des conversations concrètes."

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