Mercedes et Wehrlein attendaient mieux
Après une belle première journée marquée par la victoire de Pascal Wehrlein, Mercedes a connu une course 2 plus difficile le lendemain sur le Moscow Raceway, avec une seule 6e place pour Gary Paffett, et une 10e position pour Pascal Wehrlein, qui perd la tête du championnat.
Photo de: XPB Images
En qualifications déjà, les Mercedes avaient souffert derrière les Audi et les BMW, la meilleure C63, celle de Gary Paffett, ne pouvant faire mieux que le 7e temps, à certes seulement 92 millièmes de la pole, à l’issue d’une séance très serrée. Quant à Pascal Wehrlein, qui avait brillé la veille en s’imposant de maître et en reprenant la tête du championnat, le pilote allemand devait se contenter du 11e rang sur la grille.
En course, ce ne fut guère mieux puisque Paffett grimpait d’un rang pour passer la ligne en 6e position, alors que Wehrlein parvenait péniblement à marquer le point de la 10e place. Un constat décevant pour Ullrich Fritz, le responsable du programme DTM de la marque à l’Etoile.
"Nous espérions mieux aujourd’hui après la course 1", commentait ce dernier. "Au vu du résultat final, les qualifications furent vraiment le facteur déterminant. Malheureusement, nous n’avons pas gagné beaucoup de positions en course. Les voitures étaient toutes sur un rythme similaire aujourd’hui (dimanche), ce qui rend évidemment les dépassements compliqués, surtout lorsque vous sortez de la zone de DRS. Si l’on fait un bilan de tout le week-end, les sentiments sont mitigés. Il est positif que Pascal ait pu marquer des points et que Gary se soit montré performant. Ce qui est moins encourageant, ce sont les résultats de la course 2".
Nos mauvaises qualifications furent un facteur crucial pour la course.
Pascal Wehrlein
Même constat amer pour Pascal Wehrlein, héros de la course du samedi, mais qui s’est montré très discret lors de la seconde manche. "Malheureusement, les choses ne se sont pas bien passées lors des ravitaillements", explique le pilote allemand. "Tout d’abord, j’ai dû freiner très fort car il y avait beaucoup de monde dans la voie des stands. Puis, après mon arrêt, Mortara était à nouveau devant moi, ce qui a permis à Nico Müller d’utiliser le DRS en permanence. Malgré tout, nos mauvaises qualifications furent un facteur crucial pour la course, n’étant que 11e sur la grille. C’est juste difficile à partir de là".
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