Interview

Tambay - Le double de plaisir cette année en DTM

Adrien Tambay, Audi Sport Team Abt Sportsline Audi RS 5 DTM

Adrien Tambay, Audi Sport Team Abt Sportsline Audi RS 5 DTM

XPB Images

Adrien Tambay, Audi Sport Team Abt Sportsline Audi RS 5 DTM
Adrien Tambay, Audi Sport Team Abt Sportsline Audi RS 5 DTM
Adrien Tambay, Audi Sport Team Abt Sportsline Audi RS 5 DTM
Adrien Tambay, Audi Sport Team Abt Audi RS 5 DTM
Arrêt au stand - Adrien Tambay, Audi Sport Team Abt Audi RS 5 DTM

Comme les autres pilotes DTM, Adrien Tambay (Audi), le seul Français inscrit au championnat, se réjouit de l'apparition du nouveau format de deux courses par week-end, comme il l'a confié à Motorsport.com à Hockenheim. 

Tambay, qui a entamé ce week-end sa quatrième saison en DTM, et chez Audi, compte 27 départs dans la discipline à l'heure d'aborder la saison 2015. Cette saison, le Parisien engrangera a priori 18 courses supplémentaires, grâce au nouveau format du DTM qui réintroduit les deux courses par meeting cette année. Une nouveauté qui va bousculer les habitudes des équipes.

"L’approche n’est pas différente en ce qui me concerne, je vais donner mon maximum comme j’ai eu l’habitude de le faire", explique Adrien Tambay à Motorsport.com. "La seule chose qui risque d’être différente, c’est la gestion de la première course. Il va falloir faire attention à la voiture car les mécaniciens n’auront pas beaucoup de temps pour réparer la voiture en cas d’accident le samedi. Il sera important de bien lancer le week-end. De même, avec ce retour aux pneus uniques standard, il sera plus difficile de remonter des positions en course si l’on effectue de mauvaises qualifications. Mais au final pour moi, deux courses, c’est le double de plaisir".

Les qualifications bouleversées elles aussi

Outre l'apparition des meetings de deux courses, les qualifications sont profondément bouleversées en 2015 avec, pour chaque journée, une seule séance de 20 mn au lieu de la séance qualificative d'une heure jusqu'à l'an passé.

"Pour moi, c’est plus clair", poursuit Tambay. "Auparavant, il était important d’être rapide sur un tour, mais il fallait rééditer la performance en Q1, Q2 et Q3, et c’était vraiment délicat. On pouvait être meilleur temps de Q1, et en bas du classement ensuite. Là, c'est beaucoup plus simple : une séance de 20 minutes, et le plus rapide est en pole position. Bien sûr, il y a du monde en piste et le challenge est de trouver un tour clair lors de la séance. Mais ça fait partie du jeu".

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