Alonso et McLaren devancés par 6 équipes sur la grille chinoise

Malgré une performance brute qui n'a pas permis de passer dans le top 10 des qualifications du GP de Chine, Fernando Alonso voit une opportunité de points solide en course.

Fernando Alonso, McLaren MCL33 Renault

Fernando Alonso, McLaren MCL33 Renault

Andrew Hone / Motorsport Images

Fernando Alonso, McLaren MCL33 Renault
Fernando Alonso, McLaren MCL33
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL33 et Fernando Alonso, McLaren MCL33
Des fans de Fernando Alonso, McLaren
Fernando Alonso, McLaren MCL33 Renault
Fernando Alonso, McLaren MCL33
Fernando Alonso, McLaren MCL33 Renault

Nul doute qu’avec une treizième position sur la grille et des monoplaces de six équipes différentes le devançant ce samedi, Fernando Alonso ne saute pas au plafond. Le pilote espagnol n’est pas parvenu à se hisser en Q3 et admet par ailleurs que même un tour impeccable de bout en bout n’aurait sans doute pas permis à McLaren se s’inviter parmi les 10 meilleurs performers en qualifications.

Néanmoins, au sortir de son auto, l’actuel quatrième du championnat du monde des pilotes conserve une attitude positive et estime qu’une nouvelle fois, la force de McLaren se situe dans son rythme de course et que les points peuvent être visés pour la troisième fois consécutive en autant de courses.

"On tentait la P11, ce qui aurait été idéal, pour être les premiers en dehors de la Q3 à pouvoir faire le choix des pneus [au départ]. Mais la P13 était le maximum," commente le pilote #14. "Nous allons tenter d’inscrire des points demain. Je pense que nous sommes dans une bonne position. Les trois dernières autos de Q3 vont souffrir car elles vont devoir s’arrêter tôt avec les pneus violets. Il nous faut toujours trouver plus de vitesse, comme nous l’avons dit à Bahreïn. En conditions égales, nous sommes P13, et il nous faut progresser, c’est clair."

McLaren a tenté par tous les moyens de procurer un avantage à ses pilotes en piste, notamment en lançant une auto dans l’aspiration de celle de son coéquipier dans l’immense ligne droite où le moteur Renault rend encore de la puissance à Ferrari et Mercedes.

"Oui, en Q1, nous avons décidé qui allait donner l’aspiration à l’autre. J’ai terminé devant en Q1, donc nous avons décidé que j’allais donner le sillage à Stoffel dans le premier run, puis qu’il me le donnerait. Je suppose que ça ne s’est pas vu à la télé quand je lui ai donné car ils ne montrent jamais cela, mais quand il me le donne, ils le font voir ! Nous avons essayé de gagner quelques dixièmes mais il y a encore beaucoup de chemin à parcourir. Nous savions qu’il n’y avait pas beaucoup de temps depuis Bahreïn et il faudra voir sur la prochaine course si l’on peut être en Q3 dans des circonstances normales," ajoute-t-il.

Pour la course, il n’est pas encore clair pour Alonso quelle stratégie pourra payer le plus efficacement.

"C’est à la limite entre un et deux [arrêts]. Je pense que ceux qui sont passés en Q3 devront s’arrêter deux fois et que ceux d’en dehors ont peut-être l’avantage de ne pouvoir s’arrêter qu’une fois. Mais il y aura des problèmes de pneumatiques demain et il faudra les gérer du mieux possible."

 

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