Les écuries vont avoir droit à plus de staff sur place
Chaque écurie de Formule 1 aura droit à dix employés supplémentaires dans le paddock à partir du Grand Prix de Belgique ce week-end.
Photo de: Glenn Dunbar / Motorsport Images
Ce changement coïncide avec le retour des hospitalités des écuries à Spa-Francorchamps, après qu'elles ont été obligées d'utiliser des infrastructures temporaires fournies par les circuits et un service de restauration centralisé lors des six premiers Grands Prix.
Pour le retour en course selon le code de conduite sanitaire de la FIA dans le contexte de la pandémie de COVID-19, un accord avait été trouvé pour restreindre chaque écurie à 80 employés sur place pour les événements "fermés", formellement définis comme ceux à huis clos. Cela inclut les 60 personnes associées à l'exploitation de la monoplace, qui sont sujettes à un couvre-feu. Les 20 autres sont les pilotes, le management, les préparateurs physiques, les attachés de presse, le personnel marketing et toute autre personne liée à l'équipe.
Après ces six courses, les écuries se sont mises d'accord pour réadopter leurs propres hospitalités et services de restauration ; c'est pourquoi le nombre d'employés autorisé sur place a été augmenté à 90. Ce nombre a été formellement approuvé par le Conseil Mondial du Sport Automobile et ajouté au Règlement Sportif.
Par ailleurs, la réglementation liée aux allocations pneumatiques est désormais plus flexible. Afin de faciliter la vie à Pirelli et en raison de la nature incertaine du calendrier, il a été accepté avant la saison que tous les pilotes aient une allocation identique à chaque course : deux trains de durs, trois de mediums et huit de tendres.
Cette règle a été modifiée et commence désormais par "à moins que la FIA n'en décide autrement avec l'accord du fournisseur". La principale raison de ce changement est le fait qu'il n'y aura qu'une heure et demie d'essais libres à Imola lors d'un week-end de deux jours, mais cela permettra des allocations alternatives ailleurs si c'est jugé nécessaire.
Un troisième changement confirmé par le Conseil Mondial est l'interdiction d'essais sur les circuits nouvellement ajoutés au calendrier, même avec d'anciennes voitures. Il s'agit des pistes ajoutées après le 4 octobre 2019, date de la publication du calendrier d'origine. L'interdiction s'applique aux monoplaces récentes (2016-2018) comme plus anciennes (pré-2016). Il est en revanche possible d'y rouler une fois le Grand Prix en question passé.
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