Ericsson et Nasr s'attendent à être performants à Montréal

Le circuit Gilles Villeneuve ne se trouvant pas en Europe, les formules d'accès à la Formule 1 ne s'y rendent pas. C'est donc avec une expérience très réduite du tracé montréalais que Marcus Ericsson, qui dispute sa deuxième campagne en Formule 1, et le débutant Felipe Nasr abordent le Grand Prix du Canada.

Après une performance très convaincante lors de la manche d'ouverture à Melbourne, Sauber a peiné à confirmer et n'a pas placé la moindre monoplace en Q3 depuis le Grand Prix de Chine. Cependant, les hommes de Monisha Kaltenborn s'attendent à être en bonne position à Montréal, notamment grâce aux longues lignes droites favorables à l'unité de puissance Ferrari.

"Montréal fait partie des circuits qui devraient mieux convenir à notre voiture, principalement grâce aux longues lignes droites," estime Ericsson. "Comme nous avons une vitesse de pointe élevée, cela pourrait être positif pour nous."

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"En plus de la puissance moteur, la stabilité du freinage ainsi que la maniabilité seront importantes," poursuit le Suédois. "Les nombreuses longues lignes droites rendent aussi les dépassements faciles sur ce tracé. Compte tenu des caractéristiques du circuit, je pense que nous devrions être plus performants à Montréal."

C'est également l'avis d'un Felipe Nasr qui va courir pour la première fois sur l'Île Notre-Dame. Le Brésilien va devoir se préparer en regardant des vidéos d'archives sur son ordinateur.

"Ce sera la première fois que je cours à Montréal," confirme Nasr. "Ce circuit représente un défi car il y a des chicanes délicates, mais je pense que je vais l'apprécier. Pour bien me préparer, je vais regarder des vidéos de caméras embarquées."

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"Je pense avec confiance que les nombreuses longues lignes droites pourraient nous être bénéfiques car nous avons une vitesse de pointe compétitive. Le tracé requiert également une bonne stabilité au freinage et de la traction," conclut le pilote Sauber.

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