Ericsson hospitalisé par précaution après son crash
Marcus Ericsson a été transporté à l’hôpital pour des examens complémentaires suite à son accident survenu à haute vitesse lors de la troisième séance d’essais libres du Grand Prix de Grande-Bretagne.





Dans la dernière demi-heure de la séance, le Suédois a perdu le contrôle de sa Sauber à la sortie du virage de Stowe, sur des vibreurs encore humides suite aux averses matinales. Il a terminé sa course en heurtant violemment un mur de pneus, avant de revenir en toupie sur l’herbe.
La violence de l’impact a été telle que le volant de la monoplace s’est détaché tout seul.
Marcus Ericsson a pu s’extraire seul de la monoplace, avant d’être examiné par les docteurs directement sur place. La FIA a toutefois décidé qu’il était préférable de mener des examens supplémentaires à l’hôpital. Elle a confirmé qu’il avait été transporté à Oxford par ambulance.
"Nous n'avons pas de nouvelles depuis qu'il a été emmené à l'hôpital", a déclaré Monisha Kaltenborn à Canal+ juste avant les qualifications. "C'était un gros impact, il a passé des examens. On va attendre. Il va bien, c'est tout ce que je peux dire. Ce qui s'est passé, c'est qu'au moment de l'impact ses genoux ont reculé dans la voiture, et c'est comme ça que le volant s'est retiré. C'est une conséquence logique."

Article précédent
La FIA va durcir son attitude concernant les communications radio
Article suivant
Vettel à nouveau pénalisé sur la grille de départ

À propos de cet article
Séries | Formule 1 |
Événement | GP de Grande-Bretagne |
Lieu | Silverstone |
Pilotes | Marcus Ericsson |
Équipes | Sauber |
Auteur | Jonathan Noble |
Ericsson hospitalisé par précaution après son crash
Aston Martin : plus qu'une livrée verte, une structure à la Ferrari
La présentation de l'Aston Martin était sans doute la plus attendue cette saison, alors que les nombreux changements apportés à l'équipe s'étendent bien au-delà d'un simple travail de peinture sur la livrée. Mais il est vrai que l'équipe n'aura pas à opérer un redémarrage et peut construire sur de solides fondations.
Les approximations qu'Ocon devra éviter avec Alpine et Alonso
Depuis son retour en F1, Esteban Ocon a connu une période difficile. De nouveaux défis l'attendent, puisqu'il a été rejoint par le double Champion du monde Fernando Alonso dans la nouvelle équipe Alpine. STUART CODLING établit une feuille de route à suivre pour franchir ce cap avec succès.
L'évolution récente des volants de Formule 1
Les volants de Formule 1 ont drastiquement changé au fil des années, les pilotes disposant désormais de plus de contrôle, ce qui leur permet d'apporter les changements les plus subtils et de prendre l'avantage sur leurs rivaux.
L'impact qu'ont déjà les nouveaux investisseurs de McLaren
L'accord conclu par McLaren avec MSP Sports Capital l'an dernier non seulement aide l'écurie à financer la rénovation de ses infrastructures, ce dont elle avait bien besoin, mais est également un signe de l'avenir de la Formule 1.
La F1 à quatre roues directrices qui a failli rouler en Grand Prix
Pour la beauté du geste avant l'interdiction définitive de nombreuses aides en 1994, Benetton voulait faire rouler en Grand Prix sa B193C en fin de saison 1993, ce qui aurait fait d'elle la première voiture à quatre roues directrices à prendre un départ en F1...
Pourquoi Ferrari met fin à 50 ans d'absence au sommet de l'Endurance
Revenant dans la catégorie reine de l'Endurance après 50 années d'absence, Ferrari va s'engager en catégorie "Le Mans Hypercar" en 2023. La marque italienne dément tout lien avec le plafond de dépenses de la F1, mais il ne s'agit assurément pas d'une coïncidence...
Pourquoi la Red Bull 2021 n'a pas que quelques autocollants en plus
À première vue, la nouvelle Red Bull pour la saison 2021 de F1 semble très similaire à la monoplace de l'an passé, mais un examen attentif révèle qu'il y a en réalité beaucoup de choses intéressantes.
Ce que révèle la manière dont Alfa Romeo a dépensé ses jetons
Comme les autres monoplaces présentées jusque-là, l'Alfa Romeo C41 dévoilée ce lundi en Pologne s'apparente davantage à une évolution qu'à une révolution.