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Grosjean : S'il y a un baquet chez Ferrari, "je pense être bien placé"

Romain Grosjean a évoqué son avenir lors de la conférence de presse organisée à Bakou, à la veille des premiers tours de roue du Grand Prix d'Azerbaïdjan de F1.

Kimi Raikkonen, Ferrari SF70H et Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17

Photo de: Sutton Motorsport Images

Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Sebastian Vettel, Ferrari SF70H
Carlos Sainz Jr., Scuderia Toro Rosso STR12, Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Kimi Raikkonen, Ferrari SF70H
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Sebastian Vettel, Ferrari SF70H
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17

La discipline débute à Bakou sa campagne estivale, qui est aussi le moment de l'année où les rumeurs de transferts fleurissent ça et là en vue de la saison à venir. Et quand plusieurs pilotes de pointe sont en fin de contrat, le bourdonnement promet d'être intense et continu.

À ce petit jeu, la question se pose de savoir qui occupera les baquets de la Scuderia Ferrari en 2018. En effet, les engagements de Sebastian Vettel et de Kimi Räikkönen prennent fin dans quelques mois et forcément, devant l'incertitude, des noms sont envisagés.

Romain Grosjean, pilote Haas F1 Team, figure logiquement sur les tablettes. Et ce d'autant plus qu'il a déjà eu à répondre à des questions sur un éventuel avenir avec Ferrari fin 2015 et début 2016, au moment où il a rejoint la structure américaine, cette dernière bénéficiant en sus d'un soutien technique de Maranello.

Quand il lui est demandé de quoi l'avenir serait fait en conférence de presse, il lance : "Je ne connais pas la réponse ! La vie est pleine de surprises. Si l'on avait demandé à Valtteri [Bottas] ce qu'il allait faire le 15 décembre, il aurait dit qu'il allait rester chez Williams, et il s'est retrouvé dans la voiture Championne du monde ! Tout dépend d'un coup de fil."

"Je suis un peu frustré", a confié le Français, "on arrive des formules de promotion en ayant tout gagné et en Formule 1, on ne remporte pas une course. Mais c'est génial de pouvoir partir de zéro avec une équipe, de pouvoir surprendre les gens. Tout notre processus préparait 2017, et nous sommes désormais sur 2018."

"C'est très important de trouver des ressources et de faire le nécessaire. Le problème cette année, c'est qu'il y a les Mercedes, les Ferrari et les Red Bull, donc le top 6 est verrouillé et on se bat pour la septième place. Force India et Williams sont très rapides. Nous avons eu des problèmes d'unité de puissance. Nous nous battons quand même pour les points."

Plus précisément, quand la Scuderia Ferrari est évoquée, il répond : "J'ai un moteur, une boîte de vitesses, des suspensions Ferrari. Il est tôt, on n'est même pas en juillet. Qui sait à quoi ressemblera la grille l'an prochain ? Tout le monde dit que Kimi va quitter la F1 depuis 2010, il a 38 ans et il est toujours là. S'il y a un baquet, je pense être bien placé, mais ça ne veut pas tout dire."

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