Grosjean : La Haas F1 "est performante partout"

Présent lors de la conférence de presse à la veille des premiers tours de roue du Grand Prix de Russie 2017 de F1, Romain Grosjean est revenu sur les performances de sa monoplace depuis le début de saison.

Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17

Photo de: LAT Images

Romain Grosjean, Haas F1 Team
Arrêt au stand de Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17

La Haas VF-17 semble être bien née et occuper une position de choix dans le fluctuant milieu de peloton de la F1 version 2017. En Russie, c’est un défi différent de ce qui a été rencontré jusqu’ici qui se pose, mais le Français a confiance dans les performances de sa voiture.

"C'est dommage de ne pas être à la conférence suivante, car j'ai toujours dit qu'il fallait attendre quatre Grands Prix pour juger la voiture, et nous n'en avons fait que trois !" a-t-il d’abord plaisanté.

"La Russie est un circuit différent, mais jusqu'à présent, la voiture est performante partout. Voyons voir si nous arrivons à la faire marcher, à faire fonctionner les pneus. Si c'est le cas, nous devrions être performants partout."

Justement, suite au changement de freins annoncé, la structure ayant fait le choix de débuter le week-end avec Carbone Industrie après des tests réussis à Sakhir, cet aspect sera peut-être essentiel à la performance sur un tracé où le freinage joue un rôle crucial.

"Pour être juste avec Brembo, la dernière évolution arrivée en Chine était bien meilleure. Il a fallu du temps pour l'avoir, mais nous avions prévu de tester Carbone Industrie et nous étions tous les deux contents, nous avions l'impression de mieux maîtriser le freinage."

"Il me faut vraiment de bons freins pour pousser la voiture à la limite. Nous allons les utiliser ici. Il faut encore effectuer des réglages, mais cela va m'aider à trouver les derniers centièmes."

Au contraire, la dégradation pneumatique devrait être très, très faible sur le tracé du bord de la Mer Noire, même si la nature de la gomme pourrait la rendre plus difficile à monter en température. "C'est plus facile que l'an dernier de faire fonctionner les pneus. Les mettre en température était un gros problème, mais ce n'est plus le cas. Espérons que nous pourrons mettre les pneus en température ici, notamment les ultratendres."

Interrogé, enfin, sur ce qu’il pense de la volonté des instances de tendre vers le Bouclier en lieu et place du Halo, dont il n’est pas un grand admirateur, il ironise : "Peut-on choisir de ne rien avoir ? Je ne suis pas un grand fan du Halo, ni du Bouclier. Je ne veux pas m'opposer à la sécurité, c'est la priorité, mais je ne veux pas voir la Formule 1 changer par rapport à ce qu'elle a toujours été, je ne veux pas voir une voiture fermée."

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