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Haas : Le moteur Ferrari est peut-être "meilleur" que le Mercedes

Günther Steiner, le directeur de l'écurie Haas F1, a expliqué que les progrès de l'unité de puissance Ferrari la placent au moins au niveau de celle de Mercedes, si ce n'est au-dessus.

Sebastian Vettel, Ferrari SF70H, devant Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-17

LAT Images

Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-17
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-17
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-17
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-17, devant Marcus Ericsson, Sauber C36, Antonio Giovinazzi, Sauber C36, Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32, Lance Stroll, Williams FW40, et Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17, au départ
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-17
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-17
Kevin Magnussen, Haas F1 Team
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-17

La Scuderia a remporté la première course de la saison grâce ou à cause - c'est selon - de la stratégie, profitant notamment d'un Lewis Hamilton coincé dans le trafic pour prendre l'avantage peu avant la mi-course.

Mais si la performance de Ferrari a éclaboussé Melbourne, celle de Haas était aussi, à son niveau, très prometteuse, avec notamment le sixième temps de Romain Grosjean lors des qualifications, qui plaçait sa VF-17 comme la meilleure voiture en dehors des Mercedes, Ferrari et Red Bull.

Et parmi les éléments qui expliquent cette performance, se trouve le moteur : "Avec le moteur, il n’y a pas un domaine qui est meilleur, c’est le package entier qui s’est amélioré par rapport à l’année dernière. Il est aujourd’hui aussi compétitif que le moteur Mercedes, sinon meilleur", assure Steiner.

"Ferrari a gagné en Australie, mais tout le monde fait du développement et essaie de s’améliorer. C’est toujours une course au développement. Ils ont fait un bon pas en avant, et sans cette aide de Ferrari, nous ne serions pas où nous nous trouvons."

Vitesse et fiabilité

Un temps prometteur le samedi mais qui ne s'est pas concrétisé le dimanche, Grosjean ayant été contraint à l'abandon après une quinzaine de tours, la faute à une fuite hydraulique. Pas de quoi s'alarmer pour le directeur italien, qui préfère que le travail soit plutôt à faire du côté de la fiabilité que du côté de la vitesse.

"Si on a la vitesse, on peut avoir la fiabilité. Ce n’est pas bon de ne pas l’avoir au début, mais ne pas avoir de vitesse serait bien plus compliqué à corriger que la fiabilité."

"Nous sommes raisonnablement optimistes. Nous avons toujours besoin de prouver que notre performance n’était pas un coup d'un jour. C’est serré dans le milieu de peloton. Lors d'une bonne journée, on peut être à l’avant, mais lors d'une mauvaise journée, on peut être derrière. Les autres équipes du milieu de peloton ont montré que cela peut arriver."

"Je pense que nous avons un petit peu surpris avec notre performance, surtout Romain en se qualifiant sixième avec son tour, qui était quatre dixièmes plus rapide que celui de Massa. C’est plutôt bon."

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