Une instabilité arrière qui pose problème chez Renault

La première journée d'essais du Grand Prix d'Azerbaïdjan a été marquée par l'instabilité du train arrière de la Renault R.S.18. Ses pilotes sont optimistes quant à la résolution de ce problème pour les qualifications.

Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18

Photo de: Glenn Dunbar / Motorsport Images

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team
Une fresque de Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team, Sergey Sirotkin, Williams Racing, et Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Marcus Ericsson, Sauber C37 Ferrari, devance Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team fait le tour de la piste à vélo
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18

Treizième de la première séance d'essais libres à Bakou, Nico Hülkenberg s'est hissé à la dixième place l'après-midi avec 1"3 de retard sur le temps de référence établi par Daniel Ricciardo et quatre dixièmes de déficit sur la McLaren de Fernando Alonso, qui mène le milieu de tableau.

"Il n'y a pas de problème majeur avec les freins", commente l'Allemand quand ce sujet est évoqué. "En EL2, je n'étais généralement pas satisfait des sensations que j'avais avec ou de leurs performances, mais ça arrive. C'étaient des freins usés, ce qui l'explique sûrement en grande partie. Nous étudions cela, mais nous avons bon espoir de pouvoir résoudre ça pour demain."

Lorsque Motorsport.com lui demande comment se caractérise l'instabilité du train arrière de la R.S.18 sur le tracé azéri, Hülkenberg répond : "La sensation n'était pas idéale aujourd'hui. Mais c'était conforme à nos attentes, nous pensions que ce ne serait pas idéal aujourd'hui. Nous sommes encore en train de traiter cette instabilité et d'essayer de trouver le meilleur équilibre et le meilleur compromis."

Sainz attend la voiture parfaite

Quant à Carlos Sainz, bon dernier en EL1, il a gagné cinq secondes dans la séance suivante pour se retrouver huitième, à une seconde de Ricciardo et à un dixième d'Alonso.

"Les EL1 ont été difficiles, nous apprenons au sujet des nouvelles pièces que nous avons apportées ici", indique l'Ibère, alors que Renault dispose d'évolutions au niveau des ailerons et des pontons. "Nous avions quelques difficultés avec le freinage au début des EL1, et pour les EL2, tout avait l'air d'être presque résolu : nous avons pu prendre le rythme et améliorer les chronos."

Toujours est-il que Sainz subit les mêmes problèmes quant à l'instabilité du train arrière. "C'était difficile, disons-le ainsi", reconnaît-il. "Je ne suis toujours pas à la limite de la voiture. Je pense que les chronos vont chuter demain, et quand ils tombent à ce point, tout peut changer, la piste se gomme, etc. Il faut attendre de véritablement atteindre la limite de la voiture et de la piste pour voir si l'instabilité revient ou non."

Lorsqu'il lui est demandé s'il apprend à composer avec ce défaut de sa monture, Sainz répond : "Oui, bien sûr, mais en même temps, je suis toujours convaincu que je dois tout adapter à moi. Je sais ce dont je suis capable quand je suis à l'aise dans la voiture et 100% satisfait. Je sais que sans être 100% satisfait, je suis proche du temps au tour idéal tous les week-ends, mais quand ça viendra, ça va être bon."

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