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Les cinq circuits de rêve de Vettel

Même s’il court toute l’année sur certains des plus beaux circuits du monde, à l’image de Monaco et Spa-Francorchamps, Sebastian Vettel continue à rêver de nouveaux horizons

Même s’il court toute l’année sur certains des plus beaux circuits du monde, à l’image de Monaco et Spa-Francorchamps, Sebastian Vettel continue à rêver de nouveaux horizons. Le triple Champion du Monde en titre a récemment fait part des cinq tracés sur lesquels il aimerait courir un jour. C’est d’abord vers l’ouest que l’Allemand se tournerait, puisqu’il voudrait bien rouler un jour à Watkins Glen, circuit qui accueillit le Grand Prix des États-Unis de 1961 à 1975. "J'ai entendu beaucoup de bonnes choses sur Watkins Glen, et c'est un vrai circuit, avec beaucoup de montées et de descentes, et une grande Histoire. La Formule 1 avait l'habitude d'y aller mais plus maintenant, donc j'aimerais bien le tester". Alors que les 24 Heures du Mans approchent, le pilote Red Bull ne dirait pas non pour un tour en prototype sur le circuit de la Sarthe. "J’y suis allé en Formule 3, mais seulement sur une piste plus courte. Je pense que ça doit être assez spécial d'y aller dans un vrai prototype du Mans", déclarait-il en faisant bien sûr allusion au grand circuit de treize kilomètres. La piste californienne de Laguna Seca fait aussi partie des rêves de Vettel, tout comme la première version de Spa-Francorchamps. "Je suis allé à Laguna Seca, mais pas dans une voiture de course, juste dans une voiture de série. C'était cependant assez impressionnant, donc ça pourrait être un défi. Rouler sur l’ancien circuit de Spa-Francorchamps aurait aussi été quelque chose. Je pense que c'était un vrai circuit d'homme, avec beaucoup de virages rapides", expliquait l’actuel leader du championnat pilotes. Et bien entendu, c’est par la Nordschleife, le rêve de tout pilote, que Vettel terminait sa liste. "J'y ai fait quelques tours mais je ne me rappelle pas de la plupart des virages. C'est long et probablement trop dur pour des Formule 1 modernes, parce qu'elles sont trop basses. Mais même dans une voiture de série c'est spécial. Je pense qu'il faut de gros attributs pour le Fuchsröhre, la partie où ça descend. Il faut juste rester à fond et accélérer. Vous êtes bien au-delà des 200km/h, après vous avez cette compression massive en bas et ensuite vous remontez. C'est juste... waouh ! Imaginez faire ça dans une vraie voiture de course pendant 24 Heures, à fond et de nuit ! C’est incroyable".

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