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Les Mousquetaires - Dimanche à Singapour

{ {{En 2013, pas moins de quatre hommes pilotent sous pavillon français en Formule 1


{ {{En 2013, pas moins de quatre hommes pilotent sous pavillon français en Formule 1. De quoi faire de l'Hexagone la nation la plus représentée dans la catégorie reine du sport automobile, au même titre que l'Allemagne et la Grande-Bretagne. Après le Grand Prix de Singapour, ToileF1 reprend les réactions des quatre Français. Malheureusement, aucun d'entre eux n'est entré dans les points, notamment en raison de l'abandon de Romain Grosjean. Alors messieurs les frenchies, comment s'est passé ce Grand Prix ?}} } 14e à 1:53 du vainqueur Je n’ai pas pris le meilleur départ possible, et pour tenter de refaire notre retard, nous sommes passés d’une stratégie à deux arrêts à une stratégie à trois arrêts. Au final, je pense que cette décision m’a empêché d’avoir une chance de marquer des points. Aujourd’hui, j’ai trouvé qu’il était difficile de maintenir la voiture sur la piste. A la fin de la course, mes pneus étaient complètement usés, et on m’a dit de ralentir car la voiture surchauffait. Ce Grand Prix est toujours long et dur, particulièrement pour moi puisque je n’avais personne avec qui me battre vers la fin. Je n’avais qu’à tout donner pour garder la voiture éloignée des barrières. J’essaie toujours de regarder le bon côté des choses, et je pense que les améliorations apportées ont bien fonctionné. Nous avons beaucoup appris sur la voiture et je suis convaincu que nous pouvons bien conclure cette saison. Nous espérons commencer dès la Corée, où la voiture devrait bien se comporter 18e à 1 tour du vainqueur J’espérais mieux pour aujourd’hui, mais la première moitié de la course ne s’est pas bien déroulée du tout. Alors que je venais de m’arrêter une première fois, j’ai perdu mes vitesses. Je craignais que ce soit un souci technique mais nous sommes revenus aux stands pour changer le volant et le problème s’est réglé tout seul. Ensuite c’était difficile, car j’étais bien loin des autres : du coup, la course risquait d’être très longue et solitaire, d’autant que j’ai dû faire attention plus tôt que d’habitude aux drapeaux bleus. Quand le Safety Car est arrivé, cela nous a beaucoup aidé puisque nous avons pu rattraper notre tour de retard. Après m’être battu avec l’adhérence de la voiture en premier lieu, j’ai ensuite été capable de produire un bon rythme de course. J’étais plus rapide que mon équipier mais en essayant de le doubler, mes pneus se sont complètement détruits et nous avons dû nous arrêter une nouvelle fois, bien plus tôt que ce que nous avions planifié. Après cela, voyant l’usure des pneumatiques, il aurait été risqué d’attaquer à nouveau. Je ne pouvais plus qu’assurer, mais au moins j’ai pu gagner une place quand Pic s’est arrêté une nouvelle fois vers la fin. Ce fut une course avec plusieurs moments difficiles, mais ce qui compte, c’est le résultat de l’équipe. 19e à 1 tour du vainqueur Même si j’ai fini 19e, je ne suis pas trop déçu. Nous avons essayé une stratégie à deux arrêts, mais cette fois, ça n’a pas marché : parfois, ce genre de stratégie marche, parfois non. Il y a des jours comme ça. J’ai pris un très bon départ, mais j’ai dû faire un écart pour éviter Bianchi, et j’ai été coincé derrière lui pendant la majeure partie du premier relais. Juste avant notre arrêt prévu, je l’ai passé et j’ai creusé l’écart en quelques tours, donc il n’y a pas vraiment eu de bataille au premier arrêt. J’ai repris la piste avec un train de mediums neuf, bien devant lui, et j’ai commencé à attaquer pour rattraper mon coéquipier. Quand la voiture de sécurité est sortie, je suis rentré au stand plus tôt que prévu et j’ai repris la piste 19e sur un autre train de mediums, au même endroit que Giedo après son arrêt. La voiture était bonne à ce moment-là : les pneus étaient vraiment performants, et quand Giedo est rentré au stand à nouveau, nous avons décidé de passer sur une stratégie à deux arrêts. Il me restait beaucoup de tours, donc je devais gérer le rythme de façon à gérer les pneus jusqu’à la fin, mais alors qu’il restait six tours, mes pneus arrière étaient morts, donc il a fallu rentrer aux stands à nouveau. Ma course était finie, car même avec le gros avantage de rythme que j’avais avec les supertendres que nous avons utilisés pour le dernier relais, je n’avais pas assez de tours devant moi pour rattraper les voitures de devant. Abandon au 37e tour Il n’y a pas grand-chose à dire, la course se passait parfaitement bien. Nous avions une bonne stratégie, mais le moteur en a décidé autrement. C’est arrivé pendant la course ; on a essayé de remplir le réservoir pendant un arrêt mais ensuite on a perdu l’air et on a dû abandonner.

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