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Une confiance pas encore au niveau pour Sainz en entrée de virage

Carlos Sainz affirme avoir besoin de plus de confiance en entrée de virage avec sa nouvelle Renault pour progresser dans la hiérarchie.

Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18

Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18

Zak Mauger / Motorsport Images

Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18, Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-18 Ferrari
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team fait le tour de la piste à vélo
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-18 Ferrari, Fernando Alonso, McLaren MCL33 Renault, et Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18 au stand
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18, arrive sur la grille
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18

L'Espagnol a connu un bon début de saison en Australie, mais a rencontré plus de difficultés à Bahreïn ainsi qu'en Chine, alors que son coéquipier Nico Hülkenberg  s'est montré plus à-même d'extraire la vitesse de la R.S.18.

Alors que se profile le Grand Prix d'Azerbaïdjan ce week-end, Sainz a expliqué que le problème principal auquel il était confronté résidait dans la vitesse qu'il devait sacrifier en entrée de virage.

"Mon niveau de confiance général avec la voiture pour ce qui est des entrées de virage n'est pas encore là où il devrait être, et c'est quelque chose sur lequel nous sommes en train de travailler à Enstone", a expliqué Sainz auprès de Motorsport.com.

"Nous avons des réunions, nous menons des développements pour progresser sur cet axe. Probablement qu'en Australie j'ai connu possiblement un pic dans ma saison, et la Chine n'était pas mal."

Questionné sur l'instabilité en virage, Sainz a ajouté : "C'est quelque chose que la voiture a eu lors des trois première courses. Nous l'avons vu à Barcelone. L'Australie a été pour moi une très bonne base de départ, depuis lors je n'ai jamais réussi à retrouver ce feeling. C'est donc quelque chose sur lequel nous restons attentifs, sur lequel nous travaillons dur, et j'espère que cela reviendra."

Les astuces d'Hülkenberg

Sainz a déclaré dans la foulée du Grand Prix de Chine qu'il avait besoin de s'inspirer de quelques astuces dont son coéquipier Hülkenberg fait usage pour tirer toute la vitesse de la voiture lors des qualifications, mais aussi dans l'idée de surmonter son problème de confiance.

"Peut-être qu'il sait très bien gérer cela", a indiqué l'Espagnol. "C'est un pilote très expérimenté, très talentueux. C'est quelque chose qui évidemment doit aider sur ce point. Il est l'un des pilotes les plus rapides en Formule 1 en ce moment, je pense. C'est la troisième course [sic] sur 21, et il y en a donc encore 18 à venir, et je vais continuer de travailler dur pour continuer de résoudre cela, et j'espère que cela reviendra."

Et en dépit du fait qu'Hülkenberg a inscrit plus de points jusqu'ici cette saison, Sainz insiste qu'il n'est pas tracassé par la comparaison avec son coéquipier.

"Nous ne parlons pas d'importants écarts", a-t-il fait remarquer. "J'étais probablement un cran au-dessus en Australie lors des qualifications, il a été très bon à Bahreïn, comme ce fut déjà le cas l'an passé, et en Chine l'écart n'a été que de deux dixièmes et cela aurait très bien pu aller dans un sens ou dans un autre en fonction de la course. Je ne suis pas très ennuyé et je travaille dur. Je suis revenu à Enstone pour ainsi dire avant et après chaque course en essayant d'apprendre et d'essayer d'analyser toutes les choses et je suis confiant qu'avec beaucoup de travail et 18 courses devant nous, cela reviendra."

Propos recueillis par Adam Cooper

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