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Merhi évoque des différences entre sa voiture et celle de Stevens

Roberto Merhi, Manor F1 Team devant son équipier Will Stevens, Manor F1 Team

Photo de: XPB Images

Roberto Merhi, Manor F1 Team
Roberto Merhi, Manor F1 Team devant Will Stevens, Manor F1 Team
Roberto Merhi, Pons Racing
Roberto Merhi, Pons Racing
Roberto Merhi, Manor F1 Team sur la grille

Présent sur les quatre premiers Grand Prix de la saison avec Manor, Roberto Merhi ne sait pas encore de quoi son avenir sera fait après l'épreuve de Barcelone.

Confirmé pour son Grand Prix national, le pilote espagnol devrait ensuite faire un choix entre prolonger l'aventure en F1 ou se concentrer totalement sur sa campagne en Formule Renault 3.5. Un choix qui pourrait lui être dicté par les dirigeants de l'équipe Manor, qui ont notamment eu des contacts avec Giedo van der Garde.

"Je n'ai aucune idée de l'avenir au-delà du Grand Prix d'Espagne", a-t-il reconnu dans les colonnes du journal El Confidencial. "Jusqu'à présent j'étais un pilote titulaire, nous verrons ce qui va se passer ensuite."

Distancé par Stevens et dérouté par la gestion d'une F1

Présent à Aragon pour le premier rendez-vous des World Series by Renault ce week-end, Merhi a connu un week-end très difficile, durant lequel il n'a jamais pu se hisser aux avant-postes. Il n'a ainsi pas pu connaitre d'éclaircie sportive, après deux Grand Prix de F1 durant lesquels son coéquipier Will Stevens l'a dominé.

Mais Roberto Merhi, qui était le premier à avoir mené une Manor sous le drapeau à damier cette saison, à Sepang, a son explication. Il suggère notamment que les deux monoplaces ne peuvent pas être préparées de la même manière par l'ex équipe Marussia, faute de moyens.

"Il y a des différences", assure-t-il. "Les voitures sont complètes, mais avec certaines pièces de l'an dernier et peut-être que la mienne manque de certaines choses par rapport à l'autre."

Concernant son apprentissage de la F1, le pilote de 24 ans semble également quelque peu dérouté, expliquant qu'il peut davantage attaquer au volant d'une Formule Renault que de la Manor.

"On passe beaucoup plus de temps en course, et même en essais, à gérer [les fonctions sur] le volant", souligne-t-il. "C'est étrange ; c'est la Formule 1 mais vous pilotez tout le temps sans trop pousser les pneus."

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