Monaco n'était "pas si mal" pour Force India malgré le zéro pointé

Après avoir réalisé l'exploit de placer ses deux monoplaces dans les points lors des cinq premiers Grands Prix de la saison 2017, Force India a connu un revers à Monaco, où Esteban Ocon et Sergio Pérez fermaient la marche sous le drapeau à damier.

Sergio Perez, Sahara Force India F1 VJM10

Photo de: Andrew Hone / Motorsport Images

Esteban Ocon, Sahara Force India F1 VJM10
Sergio Perez, Sahara Force India F1 VJM10
La voiture de Sergio Perez, Force India VJM10 et ses mécaniciens
Esteban Ocon, Force India VJM10
Robert Fernley, directeur adjoint Sahara Force India F1 Team lors de la conférence de presse
Sergio Perez, Force India VJM10
Sergio Perez, Force India VJM10
Sergio Perez, Force India VJM10

En Principauté, Esteban Ocon a en effet été handicapé par un accident en EL3 puis par une crevaison en course, alors que Sergio Pérez tenait la dixième place avant une manœuvre de dépassement optimiste qui s'est conclue par un accrochage avec Daniil Kvyat. C'est même la première fois que Force India ne marque aucun point depuis le Grand Prix d'Autriche 2016.

"Ce qui est arrivé est arrivé. Il fallait que ça s'achève à un moment ou à un autre, et quitte à connaître autant une mauvaise journée, espérons que nous avons tout eu d'un coup !" s'exclame Bob Fernley, directeur adjoint de l'équipe, pour Motorsport.com.

"Ce n'était pas si mal pour nous. Nous avons perdu quelques points par rapport à Toro Rosso, mais il nous reste une bonne avance, et les autres se prenaient des points les uns aux autres."

"Il y a deux courses qui devraient être bonnes pour Williams et nous, en particulier Montréal pour Williams, tandis que Bakou sera bon pour nous. Puis nous verrons ce qu'il en est quand nous aurons fait ces deux-là. Mais nous ne pouvons pas nous permettre d'être suffisants."

La colère de Pérez

Fernley a par ailleurs minimisé l'exaspération communiquée par Sergio Pérez à la radio lorsqu'on lui a demandé de lâcher du lest par rapport à la voiture qui le précédait pour permettre un refroidissement optimal du moteur.

"La difficulté, c'est que d'un côté on essaie de gérer les moteurs, mais de l'autre on tente d'assurer que les attentes du pilote soient satisfaites", explique le Britannique.

"Si on s'approche trop de quelqu'un, le moteur surchauffe et on ne peut pas se rapprocher pour dépasser et éviter la surchauffe ! Je ne le lui reproche pas, je pense que notre muret des stands a très bien géré la situation. Il faisait la course."

Propos recueillis par Adam Cooper

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