Montréal du point de vue pneumatique
-> Le vainqueur de l’an dernier (Lewis Hamilton) s’est arrêté à deux reprises, tandis que le second et le troisième n’ont observé qu’un unique arrêt
-> Les pneus arrière sont particulièrement mis à l’épreuve à Montréal, en raison des demandes de traction importantes à la sortie de l’épingle et des virages lents. Il est très facile de subir du patinage en sortie en poussant trop vite l’accélérateur, et d’accentuer ainsi l’usure. La piste est également assez bosselée, provoquant du patinage sur le train arrière. -> Comme pour encore plus punir les pneus, le Canada dispose de vibreurs importants ; une caractéristique bien connue du circuit. Les vibreurs canadiens sont élevés et agressifs, les monoplaces entrant en contact avec eux à environ 130 km/h dans le dernier virage, près du fameux « Mur des Champions » que personne ne souhaite embrasser…
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