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Pas de Vandoorne au volant pour les essais F1 de Barcelone

Stoffel Vandoorne a révélé qu'il ne prendrait pas le volant de la McLaren MP4-31 lors des essais hivernaux de Barcelone.

Stoffel Vandoorne, McLaren MP4-30

Stoffel Vandoorne, McLaren MP4-30

XPB Images

Stoffel Vandoorne, McLaren MP4-30
Stoffel Vandoorne, McLaren MP4-30
Stoffel Vandoorne, McLaren MP4-30
Stoffel Vandoorne, McLaren MP4-30
Stoffel Vandoorne, McLaren MP4-30
Stoffel Vandoorne, McLaren MP4-30
Stoffel Vandoorne, McLaren MP4-30
Stoffel Vandoorne, McLaren MP4-30

C'est à son protégé belge que McLaren avait confié les essais organisés par Pirelli au Paul Ricard en janvier dernier. Vandoorne avait ainsi pu engranger une expérience précieuse avec deux journées d'essais sur piste humide.

Ces essais ont toutefois été effectués par des monoplaces 2015, sans possibilité de tester de nouvelles pièces. Les enjeux des essais hivernaux de Barcelone seront tout autres, et c'est logiquement que McLaren va donner un maximum de temps de piste à Fernando Alonso et à Jenson Button, qui se partageront ces huit jours d'essais en Catalogne.

"Je ne prendrai pas le volant", confirme Vandoorne pour Motorsport.com. "Il n'y a que huit jours d'essais et ils seront tous utilisés par les pilotes titulaires. Je ne m'attends pas non plus à faire des essais libres en cours de saison."

Quoi qu'il en soit, le Champion GP2 en titre va connaître une saison particulièrement animée, partagée entre son rôle de pilote de réserve McLaren en Formule 1 et un engagement à plein temps dans le championnat monoplace japonais de Super Formula, au sein de l'écurie Team Dandelion Racing.

"Ce sera une année très chargée pour moi, mais c'est mieux que d'être sur le canapé à la maison", relativise-t-il.

En ce qui concerne McLaren, c'est la dernière ligne droite avant les essais hivernaux de Barcelone. "C'est une période très chargée, il faut que toutes les pièces soient prêtes", souligne Vandoorne. "Surtout avec les premiers essais qui arrivent."

Bien qu'il fasse partie de l'écurie britannique depuis plusieurs années, le Belge ne saurait pas pour autant pronostiquer le niveau de performance qu'affichera l'équipe en 2016.

"C'est très dur à dire", estime-t-il. "Nous avons progressé, mais c'est dur de dire à quel point. Il faudra attendre la première course pour voir où nous nous situons ; même les essais ne nous le diront pas."

Propos recueillis par Filip Cleeren

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