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Patrick Dempsey, l'apprentissage avec humilité en Porsche Supercup

Patrick Dempsey n’est plus seulement la Star de la TV venue faire quelques piges pour alimenter sa passion du sport automobile

Patrick Dempsey n’est plus seulement la Star de la TV venue faire quelques piges pour alimenter sa passion du sport automobile. Progressivement, l’acteur gagne en expérience et en confiance dans le milieu, aidé par la médiatisation importante de ses projets. Progressivement, il amorce le virage le menant à une carrière de pilote professionnel, et ne se contente plus de quelques « one-off » populaires sur les 24 Heures du Mans.

Le voici maintenant régulièrement aligné sur la grille du championnat Porsche Supercup, qui se produit en amont des GP de F1. Dempsey aborde ces rendez-vous avec beaucoup de modestie et vise avant tout le ralliement de l’arrivée.
Il faut dire que la course coule réellement dans les veines de celui qui est loin d’être un opportuniste.

« J’ai toujours été intéressé par les voitures », avoue-t-il sur le site officiel Red Bull. « Quand j’étais très jeune, mon père m’achetait des petites voitures Matchbox et on regardait toujours les 500 Miles d’Indianapolis, ou on l’écoutait à la radio. Depuis très jeune, je n’étais intéressé que par la course ».

Le petit plus qui donne l’étincelle à Dempsey est le défi proposé par cet environnement, dont il apprend encore pas à pas les ficelles. En Supercup, les courses sont très rythmées et intenses, avec un niveau très élevé. Sébastien Loeb ou Sébastien Ogier, qui s’y sont essayés récemment, en savent quelque chose.

« C’est un challenge complet. On sort totalement de sa zone de confort. Aussi, le fait que les progrès que tu fais à chaque course peuvent soudain représenter un grand bond en avant, qui rapproche de ce but ultime qu’est la victoire. C’est aussi très technique, mais je trouve que c’est énorme émotionnellement et personnellement. On peut y devenir accro ».

Les sensations procurées et l’adrénaline tout au long de la préparation du projet, comme en piste, sont donc devenues la drogue du médecin télévisuel.

« C’est beaucoup de tension avant la course ! Mais j’ai appris, avec des gens très qualifiés, à me focaliser sur le général. Tu sais tout ce que tu as à faire, ce que tu as appris dans le team et ce que tu as prévu, et il faut visualiser tout ça. Les moments avant le départ sont assez durs nerveusement, mais c’est toujours très beau.

Pendant la course, l’émotion et la tension sont similaires, mais ça redescend un peu. C’est une histoire de discipline et de concentration. Ne pas s’inquiéter de ce qui se passe autour, mais se focaliser sur son propre job. En fait, le job dans la voiture est plus simple que tout le reste, à l’arrivée, avec les médias et tout ça. Je suis bien plus relax dans la voiture qu’en-dehors ».

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