Hülkenberg : "Vu les circonstances, on a fait du très bon travail"

Après un début de week-end relativement difficile, marqué par des problèmes techniques coûteux en temps de piste, Renault Sport F1 Team a redressé la barre lors des qualifications du Grand Prix de Monaco.

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17

Sam Bloxham / Motorsport Images

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17

Nico Hülkenberg est parvenu à prendre la 12e place de cette séance, à deux dixièmes d'un passage en Q3. Cependant, une certaine déception pointait pour le pilote allemand, bien qu'il préfère voir le verre à moitié plein après avoir dû faire l'impasse sur les EL1 à cause d'un souci mécanique.

"Je pense que c'était le mieux que nous puissions faire", déclare Hülkenberg. "Avec la voiture, ça reste difficile. Nous sommes un peu déçus de notre niveau de performance, mais vu les circonstances, nous avons fait du très bon travail, nous avons rattrapé autant de terrain que possible. L'avantage, c'est que je gagne deux places grâce aux pénalités. Je pars dixième, ce n'est pas si mal."

"Ce week-end, nous ne comprenons pas encore pourquoi la voiture n'est pas là où elle devrait être, ou là où nous pensions qu'elle serait. Nous devons enquêter là-dessus. En matière de réglages, ça ne pourrait pas être mieux, vu le temps de piste que nous avons eu ce week-end."

Palmer à 0"9

Pour Jolyon Palmer, en revanche, le calvaire continue. Battu par son coéquipier de près d'une seconde en EL3, le Britannique s'est également retrouvé relégué à neuf dixièmes en qualifications : une touchette avec le mur a provoqué une crevaison sur sa monoplace, et Palmer n'a donc eu qu'une véritable tentative pour se qualifier.

"J'étais très frustré", confirme-t-il, interrogé sur la mine déconfite arborée lorsqu'il est sorti de sa R.S.17. "Il y a des jours comme ça. J'étais très content de tout, nous étions performants en EL3, mais avec mon erreur, je n'ai pas fait de tour en pneus neufs. Puis j'ai touché le mur, et les réglages n'étaient pas bons. Ce sont de petites erreurs, rien de majeur, mais qui s'accumulent."

Le pilote Renault ayant connu un problème de moteur lors d'une séance d'EL2 prédominante quant aux longs relais, c'est presque dans l'inconnue qu'il va aborder cette course, bien qu'il soit clair que la dégradation des pneus ne va pas représenter un problème.

"Je pense qu'il y a deux options : partir en supertendres et passer les ultratendres ensuite, ou partir en ultratendres et chausser les supertendres au stand !" sourit Palmer au sujet des stratégies possibles. "Cependant, une voiture de sécurité au bon moment, avec la bonne stratégie, peut faire basculer la course."

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