Grosjean : "Ça ira mieux au Canada"

Alors qu'il prendra le départ du Grand Prix de Monaco depuis la 18e position de la grille, Romain Grosjean semble déjà l'esprit tourné vers le prochain GP, quelques instants après les qualifications.

Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18

Photo de: Andrew Hone / Motorsport Images

Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18
Le nez de la Haas VF-18 de Romain Grosjean
Romain Grosjean, Haas F1 Team

Auteur d’un chrono de 1’12’’930 en Q1 des qualifications du Grand prix de Monaco, Romain Grosjean a été le seul pilote Haas à réaliser un temps lui permettant de disputer la seconde phase de la séance. Améliorant de deux dixièmes sa marque lors de celle-ci, le Franco-Suisse n’a néanmoins pas trouvé le rythme permettant d’accéder au top 10.

Quinzième et dernier de ladite Q2, Grosjean aurait encore eu besoin de plus de quatre dixièmes pour espérer une telle situation.

Au vu des difficultés rencontrées par son équipe sur ce tracé qui ne favorise pas les qualités intrinsèques du package Haas, redoutable en revanche dans les courbes rapides, Grosjean, qui court encore après ses premiers points 2018, faisait contre mauvaise fortune bon cœur en revenant dans le paddock.

"C’était le potentiel maximal : déjà en Q1, j’étais à 120%", admettait-il au micro de Canal+. "Je n’avais plus grand-chose sous le pied par rapport aux autres une fois en Q2. J’ai amélioré mon chrono et je suis déjà fier de ça."

Il est difficile pour le pilote #8 de pouvoir se projeter dans les points en partant de la 18e position : en effet, s’il a signé le 15e temps, Grosjean écope d’une pénalité de trois places au départ du GP de Monaco pour sa manœuvre dangereuse du départ du Grand Prix d’Espagne. Reste que tout est possible en Principauté.

"On a souffert tout le week-end, il y a plusieurs raisons. On a des voitures un petit peu endommagées, notamment au niveau du fond plat, et ça nous coûte de l’appui aérodynamique. On attend les évolutions pour le Canada. Et puis on a mal compris les hypertendres. C’est Monaco, tout est possible dans un sens comme dans l’autre. Je me souviens qu’en 2014 j’étais dernier après le premier tour et puis j’ai fini huitième. On va voir comment ça va se goupiller demain, on va attendre, et je sais qu’au Canada ça ira mieux."

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