Six infos à connaître sur le GP de Bahreïn

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Toutes les éditions ont été disputées sur le circuit de Sakhir, au sud-ouest de Manama, la capitale du Royaume de Bahreïn. Le "Bahrain International Circuit" (BIC) mesure 5,412 km, possède quinze virages, et deux lignes droites où peut être activé le DRS.

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Les pole positions à Bahreïn
2 - Nico Rosberg, Michael Schumacher, Sebastian Vettel ; 1 - Fernando Alonso, Lewis Hamilton, Robert Kubica, Felipe Massa, Jarno Trulli.
3 - Ferrari, Mercedes ; 2 - Red Bull ; 1 - BMW Sauber, Toyota.

Les victoires à Bahreïn
3 - Fernando Alonso ; 2 - Lewis Hamilton, Felipe Massa, Sebastian Vettel ; 1 - Jenson Button, Michael Schumacher.
4 - Ferrari ; 2 - Mercedes, Red Bull, Renault ; 1 - Brawn

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Le record du tour, réalisé en 1’31”447, appartient toujours à Pedro de la Rosa, établi en 2005 aux commandes d’une McLaren à moteur Mercedes.

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Le nombre de victoires consécutives, désormais à la portée de Mercedes. Avec le triomphe de Nico Rosberg à Melbourne, Mercedes a porté sa séquence de victoires consécutives à huit. Si le Monégasque d’adoption ou son coéquipier Hamilton s’impose à Bahreïn, l’écurie égalera un chiffre établi par Red Bull Racing en 2013, de la Belgique au Brésil. Avec par la suite une autre victoire en Chine, elle fera aussi bien que Ferrari et ses dix victoires consécutives en 2002. Et si la séquence victorieuse se poursuivait en Russie, cette fois elle égalerait la marque ultime - 11 victoires consécutives - établie en 1988 par McLaren.

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Premier Grand Prix de Formule 1 organisé au Moyen-Orient et de surcroît sur un tracé ultramoderne aménagé au milieu d’un désert, c’est la première fois que Bahreïn constitue le second rendez-vous de la saison. Cette 12e édition sera à nouveau une épreuve disputée sous les projecteurs, ce qui, agréablement, permet une retransmission TV à une heure raisonnable en Europe et dans l’Est de l’Amérique du Nord.

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Les diverses appellations du moteur Renault. Le tour le plus rapide enregistré à Melbourne par Daniel Ricciardo et sa Red Bull propulsée par "TAG Heuer" était le troisième réussi avec un moteur de technologie Renault… mais porteur d’une appellation différente. Au Grand Prix d’Argentine 1998, Alex Wurz avait réussi l’exploit sur Benetton "Playlife" et en 1999, Ralf Schumacher fit de même en Italie, au volant d’une Williams "Supertec".

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