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Verstappen - Avec ou sans aide, un départ n'est jamais facile

Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10 et Jenson Button, McLaren MP4-30

XPB Images

Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10 devant Valtteri Bottas, Williams FW37
La Grid Girl de Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso

Le prochain Grand Prix de Belgique, qui se tiendra dans dix jours à Spa-Francorchamps, marquera l’entrée en vigueur des nouvelles règles concernant les procédures de départ. Ainsi, les pilotes ne disposeront plus de certaines aides électroniques ou de l’assistance radio dont ils pouvaient bénéficier jusqu’à présent. Une mesure prise pour remettre en valeur le rôle du pilote et également apporter davantage de spectacle. 

Les avis restent partagés sur ce qu’engendrera cette nouvelle réglementation, mais cela ne semble en tout cas pas perturber Max Verstappen. Bien qu’issu d’une génération encore toute nouvelle, et pour cause puisqu’il n’a que 17 ans, le pilote Toro Rosso ne s’inquiète "pas du tout" de cette modification. 

"C’est la même chose pour tout le monde. Il faut juste faire avec les règles. Pour moi, c’est OK", assure-t-il sur le site officiel de la Formule 1. 

Anticipation et improvisation

Moment généralement le plus critique d’un Grand Prix, l’extinction des feux reste un événement à part, que chaque pilote appréhende à sa manière. 

"C’est toujours différent, donc on n’a pas vraiment de plan", souligne Verstappen. "Je regarde les courses des années précédentes, juste pour avoir une idée de là où aller si cela arrive. En général, on espère juste prendre un bon départ et à partir de là, anticiper ce qui se passe devant."

Si la modification réglementaire ne l’affecte pas, le Néerlandais rappelle toutefois que la procédure de départ n’était pas facile avant même l’interdiction des aides. Il y a 10 jours, il a notamment profité d’une séance de tournage de Toro Rosso à Imola pour travailler les essais de départ. 

"Ce n’est pas facile du tout. Il faut trouver le bon régime moteur, il faut trouver la bonne position de la pédale et ensuite il faut avoir un bon temps de réaction. Après tout ça il faut contrôler le patinage, donc ce n’est pas facile", décrit-il.

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