Vidéo - Vettel pilote une Ferrari...pour de la promo Red Bull!
Sebastian Vettel a pris le volant d’une F1 Ferrari dans le cadre d’une opération promotionnelle destinée à mettre en valeur la tenue du Grand Prix d’Autriche sur le Red Bull Ring
Sebastian Vettel a pris le volant d’une F1 Ferrari dans le cadre d’une opération promotionnelle destinée à mettre en valeur la tenue du Grand Prix d’Autriche sur le Red Bull Ring.
Le Quadruple Champion du Monde a « échangé » sa Red Bull RB8 de 2012 avec la Ferrari F1-87-88C de l’Autrichien Gerhard Berger, victorieuse en Italie en 1988, le temps d’une journée. Berger s’est lui aussi fait plaisir au volant de la monoplace ayant mené Vettel vers son troisième titre mondial.
Pour cette journée très spéciale, Vettel a découvert le tracé original de l’A1 Ring en compagnie de Berger ; le circuit est désormais rebaptisé Red Bull Ring, et fait son retour au calendrier F1 en ce mois de juin.
« Aujourd’hui, la piste a été superbement refaite. Elle a été rendue sûre mais elle a gardé son caractère et a gagné en équipements et en grandes tribunes nécessaires pour le Grand Prix d’Autriche », explique Berger. « Spielberg et Hockenheim sont des endroits spéciaux dans mon cœur. Des circuits rapides, comme Spa, Monza ou Suzuka m’ont toujours convenu. Le GP à domicile était toujours spécial. En 1986, j’y ai mené pendant un demi-tour et je célébrais déjà en solo ! Malheureusement, une pièce qui coûtait un sou a cassé ! »
Berger a tout d’abord piloté sa Ferrari avant de la céder à Vettel, qui a lui-même réalisé un tour de reconnaissance avec sa Red Bull avant de la confier à celui qui lui fit confiance en tant que team manager pour sa première saison de titulaire, chez Toro Rosso.
« C’est étrange, les épaules sont dans les airs », a décrit l’Allemand, une fois son expérience passée dans la Ferrari. « Pour la première fois, je peux voir des montagnes depuis la piste ! Les jambes vont vers le bas au lieu de monter, comme de nos jours. C’est si pur, si direct ! En raison du manque d’appui, on ne passe pas vite dans les courbes, mais bon sang, il y a pas mal de puissance ! C’est très fun ! Génial » !
Attentif aux conseils de son aîné, Vettel n’a pas manqué de chercher les limites de l’auto.
« Si ça glisse, laisse-la glisser très doucement », avait recommandé Berger. « Tu peux voir que c’est une voiture mécanique, et non aérodynamique. Dans les virages rapides, je ne tentais pas tout ; j’avais trop de respect. C’est comme piloter une voiture à l’ancienne : il te faut saccader l’accélérateur et changer les rapports proprement ».
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