Villeneuve fait connaissance avec l'univers du GT
Le Mans - Inscrit cette saison en championnat de France des circuits sur le GT Tour, Jacques Villeneuve fait connaissance ce week-end avec son nouvel environnement
Le Mans - Inscrit cette saison en championnat de France des circuits sur le GT Tour, Jacques Villeneuve fait connaissance ce week-end avec son nouvel environnement.
C'est avec beaucoup d'humilité que le Québécois fait ses premiers pas dans une catégorie très disputée, mais qui lui permet de renouer avec la compétition après un début d'année 2013 très occupé par ses nouvelles activités de consultant pour Canal+.
C'est au volant d'une Ferrari 458 Italia préparée par le team Sport Garage que le Champion du Monde de Formule 1 1997 a trouvé une belle opportunité.
"J’ai déménagé en Andorre donc géographiquement c’est bien. Je connais une partie des gens ou des pilotes, l’équipe aussi car on a travaillé ensemble deux années sur le Trophée Andros pendant l’hiver", a confié Villeneuve à ToileF1.
"Ce sont les mêmes ingénieurs et l’équipe cet hiver m’a demandé si ça pouvait m’intéresser. J’ai dit « pourquoi pas ? », il y a un bon projet professionnel, je n’habite pas trop loin donc ça va être pratique. Ça me permet de voir un peu comment ça se passe, ce sont quand même de belles voitures qui vont vite, il faut se donner, il faut être affûté et à l’attaque et j’ai un bon coéquipier avec Eric Cayrolle donc c’est intéressant. C’est pas facile ! Ce ne sont pas des voitures faciles à piloter, il faut vraiment être à l’attaque. C’est plutôt intéressant et c’est même agréable à piloter."
Villeneuve fait son retour au Mans, où il avait disputé les mythiques 24 Heures en 2007 et 2008 avec Peugeot. Mais ce week-end, c'est sur le circuit permanent Bugatti qu'il se frotte à la concurrence. Un tracé compliqué mais qui compte aussi des désavantages.
"Ce qui est dommage c’est que, comme sur beaucoup de circuits, et j’ai vu ça beaucoup en France, Il n’y a plus de vibreurs, plus rien, c’est juste de la peinture avec des cônes et il faut presque s’autolimiter. Tous les deux tours les cônes volent et on ne sait jamais qui a coupé la chicane ou qui ne l’a pas coupé et c’est comme ça dans tous les virages. Il n’y a plus de limite, il n’y a pas un beau vibreur où aller trop loin serait vraiment aller trop loin. Il n’y a pas vraiment de délimitation, c’est un petit peu dommage. Sinon c’est un tracé compliqué et technique."
Rejoignez la communauté Motorsport
Commentez cet articlePartager ou sauvegarder cet article
Abonnez-vous pour accéder aux articles de Motorsport.com avec votre bloqueur de publicité.
De la Formule 1 au MotoGP, nous couvrons les plus grands championnats depuis les circuits parce que nous aimons notre sport, tout comme vous. Afin de continuer à vous faire vivre les sports mécaniques de l'intérieur avec des experts du milieu, notre site Internet affiche de la publicité. Nous souhaitons néanmoins vous donner la possibilité de profiter du site sans publicité et sans tracking, avec votre logiciel adblocker.
Meilleurs commentaires