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Voiture de Sécurité Virtuelle - Ricciardo demande de la clarté

L'Australien regrette la confusion qui a régné avec la VSC sur le Circuit des Amériques le week-end dernier.

Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB11

Photo de: Red Bull Content Pool

Daniil Kvyat, Red Bull Racing RB11 devant son équipier Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB11
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB11
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB11
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB11
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10 et Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB11 en lutte pour une position
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB11
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB11

Dixième du Grand Prix des Etats-Unis après avoir perdu gros dans un accrochage avec Nico Hülkenberg, Daniel Ricciardo a été l’un des grands animateurs du début de course, dont il a même occupé la tête lorsque les conditions étaient encore suffisamment humides pour permettre à sa Red Bull de tirer son épingle du jeu. 

Mais l’Australien a également été "victime" du déploiement de la Voiture de Sécurité Virtuelle (VSC), destiné à permettre le nettoyage des débris en piste. Lorsque la neutralisation a pris fin, il s’est immédiatement fait dépasser par Nico Rosberg. Une situation qu’il regrette puisqu’elle prouve que les écarts n’ont pas été conservés en piste sous ce régime. 

"Avec la VSC, on devrait garder l’écart, et Rosberg n’était pas juste derrière nous, il était quelques secondes derrière", note Ricciardo. "Alors quand je l’ai vu déjà si proche de nous sous Virtual Safety Car, j’ai pensé : "Il va sûrement reculer de nouveau". Ensuite il m’a doublé, et il y avait apparemment drapeau vert." 

"Je ne sais pas ce qui s’est passé. Je suivais les instructions. Je crois que nous allons discuter de la Voiture de Sécurité Virtuelle de manière générale car le moment où c’est passé au vert n’était pas clair."

Plus de confusion qu’ailleurs

La Voiture de Sécurité Virtuelle impose aux pilotes de respecter un temps au tour maximum en piste (leur chrono ne devant pas être plus rapide) en fonction duquel ils doivent ajuster leur rythme en se fiant à un delta en temps réel qui apparaît sur leur volant. Ce qui étonne Ricciardo, c’est la manière dont le processus a manqué de clarté à Austin par rapport à ses précédents usages. 

"On pilote, on suit ce temps, et il faut regarder le tableau de bord", explique-t-il. "C’était un peu confus, je ne sais pas pourquoi. Dimanche c’était plus confus que ça ne l’était lors des courses précédentes. Normalement nous recevons un message, disant que la VSC se termine, avec un décompte de 10 secondes. Mais là il n’y a pas eu d’avertissement du tout. Je ne sais pas si Rosberg nous a tous rattrapés, mais j’étais confus de le voir si proche de nous."

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