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Wolff - La F1 a besoin d'un actionnaire avec une vision à long terme

Le directeur de Mercedes espère que le changement de mains annoncé par Bernie Ecclestone débouchera sur un projet durable et sain pour la Formule 1.

Toto Wolff, Directeur Mercedes AMG F1

Toto Wolff, Directeur Mercedes AMG F1

XPB Images

Maurizio Arrivabene, Paddy Lowe et Toto Wolff
Franz Tost, Scuderia Toro Rosso et Toto Wolff, Mercedes AMG F1
Toto Wolff, Directeur Mercedes AMG F1
Toto Wolff, Mercedes AMG F1
Toto Wolff, Mercedes AMG F1 et sa femme Susie Wolff, Williams FW35

Directeur de Mercedes Motorsport, Toto Wolff n’a pas tardé à réagir aux révélations de Bernie Ecclestone comme quoi la Formule 1 pourrait être vendue avant la fin de cette année, avec trois acquéreurs intéressés par le rachat des parts actuellement détenues par CVC Partners. 

Souvent critiqué au sein du paddock, CVC s’est vu reprocher régulièrement son manque d’investissement ou d’implication dans la discipline. Wolff voit dans l’annonce d’Ecclestone la possibilité de faire venir un nouveau propriétaire qui aura une vision plus attrayante pour le long terme. Mais l’Autrichien se méfie aussi de la sortie médiatique du Grand Argentier de la F1. 

"Bernie est toujours bon pour les gros titres", rappelle Wolff. "Et les gros titres et la controverse sont une grande part de ce qui fait vendre la Formule 1."

"Le fait est que les propriétaires de la discipline sont des compagnies d’investissement : CVC est propriétaire de la discipline depuis longtemps, d’autres fonds d’investissement ont été impliqués et ont fait d’excellents bénéfices, et il est clair qu’ils vendraient éventuellement l’affaire puisque ce n’est pas le coeur de leur business."

"Pour nous, qui participons en tant qu’équipe, c’est important d’avoir un actionnaire durable avec une perspective et une vision sur le long terme ; et peu importe qui ça pourrait être, nous regardons cela avec intérêt."

On sait que le Qatar, via QSI, a déjà montré son intérêt pour la F1, mais que d’autres possibles acquéreurs pourraient venir des Etats-Unis ou de la Russie. Dans tous les cas, Wolff ne fait pas cas de le provenance du futur propriétaire de la discipline, se montrant davantage intéressé par le projet qui sera mené : "Même si j’avais une préférence, je n’ai pas mon mot à dire sur qui est l’actionnaire, donc attendons et nous verrons."

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