Alonso aurait aimé être l'équipier de Kubica
Après avoir passé en revue les talents de ses rivaux et équipiers au cours de sa carrière F1, Alonso a également été interrogé sur ses regrets ou rêves, s’autorisant quelques spéculations sur comment auraient été les choses si elles ne s’étaient pas déroulées comme ce fut le cas
Après avoir passé en revue les talents de ses rivaux et équipiers au cours de sa carrière F1, Alonso a également été interrogé sur ses regrets ou rêves, s’autorisant quelques spéculations sur comment auraient été les choses si elles ne s’étaient pas déroulées comme ce fut le cas.
Dans un monde où les confrontations entre pilotes de différentes ères seraient possible, Alonso a bien du mal à choisir quelques champions auxquels se frotter.
« Il y a tant de grands noms dans l’Histoire de la Formule 1 ! Généralement, on parle de grands champions tels que Niki Lauda, Ayrton Senna, Alain Prost ; ces gars qui ont couru dans le passé et avec lesquels nous avons grandi tandis qu’ils gagnaient des courses… Si je pouvais, je me battrais avec eux, et aussi dans l’une de ces vieilles voitures ; celles avec lesquelles je jouais quand j’étais enfant. Ils étaient nos héros. Tout le monde adorerait évidemment voir ça », explique-t-il pour le site officiel Ferrari.
Et au moment de choisir un équipier avec lequel il n’a jamais eu la chance d’être associé en F1, c’est sans surprise que le pilote espagnol choisit Robert Kubica.
« C’est une autre question difficile ! », commence Alonso, qui avait déjà dû désigner un plus rude rival sur une autre question. « Je ne sais pas, car je pense que j’ai eu des équipiers qui étaient toujours là en leur temps. J’ai clairement toujours eu une bonne amitié avec Kubica, depuis le karting, et peut-être que s’il avait été en Formule 1, nous aurions pu être ensemble dans la même équipe. Mais on ne saura jamais, car nous sommes allés dans des directions différentes ».
Dans le passé, Fernando Alonso, qui a toujours influencé la Scuderia au moment de donner ses sentiments sur un possible équipier, avait avec son manager Flavio Briatore fortement incité le Cheval Cabré à faire venir un Kubica parlant par ailleurs couramment italien dans l'équipe. Certains dans le paddock murmurent même qu’un contrat d’intention existait entre le Polonais et le team pour l’après-Massa, une fois le deal Lotus-Renault de Kubica observé. Mais l’accident de rallye ayant changé l’orientation de carrière du Polonais laisse un grand point d’interrogation sur ce qu’aurait été la trajectoire de celui-ci.
Quant à l’amitié entre pilotes, elle est possible en F1, estime Alonso.
« Oui. Mais clairement pas dans le sens ‘réel’ », précise le pilote Ferrari. « Pas comme de la façon dont on a des amis hors de la F1, ou avec des amis que l’on connait depuis très longtemps. En F1, l’amitié n’est pas obligatoire, mais elle se base sur le fait de passer 300 jours de l’année ensemble, et au final, on commence à partager des choses qui ne sont pas uniquement professionnelles, mais également personnelles. Cela crée une relation amicale ».
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