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Alonso - La peur et la F1 ne sont pas compatibles

Le pilote espagnol Fernando Alonso assure qu'il est resté le même au fil des années en dépit de son succès en F1 sur les choses “importantes”

Le pilote espagnol Fernando Alonso assure qu'il est resté le même au fil des années en dépit de son succès en F1 sur les choses “importantes”.

En moyenne dans une année, nous passons 280 jours loin de chez nous. Quand je mets mon casque, je suis compétitif et prêt à me battre jusqu'au dernier tour. Lorsque je l'enlève, je suis un fils, un frère et un ami comme n'importe quelle autre personne”, explique Alonso.

Le Double Champion du Monde ajoute que la F1 demeure un grand plaisir, et que la peur ne fait pas partie du jeu.

Peur? Je dirais que non, parce que la peur et la compétition ne sont pas compatibles. Bien sûr, quand vous êtes à 300km/h en ligne droite, que vous ne voyez absolument rien, et qu'en plus, vous ne pouvez pas lever le pied de l'accélérateur sous peine de vous faire doubler par le gars derrière, ce n'est pas agréable”!, commente-t-il.

Où l'espagnol trouve-t-il alors les meilleures sensations au volant de sa monoplace?

Dans les virages et les freinages. La Ferrari de route la plus puissante peut vous donner une idée approximative de l'accélération d'une F1. Mais aucune voiture, même de compétition, ne vous permettra jamais de vous approcher des sensations de freinage ou de virage en F1”.

Les blessures sont également une variante avec laquelle un athlète de haut niveau comme un pilote F1 doit composer, et ce risque est à garder en tête en passant entre les rails de la Principauté.

Tout le temps! Parfois, vous avez des blessures musculaires, y compris d'un entraînement précédent. Tendinite, pincement dans le cou à cause de la fatigue, etc. Mais c'est comme dans n'importe quel sport.

Je pense que le pire était au début de la saison 2011. J'avais une blessure au nerf sciatique qui m'a causé beaucoup de douleur dans la jambe en fin de course. Il arrive aussi de passer quelques courses avec une forte fièvre, et le sentiment à la fin est d'avoir vraiment tout donné”.

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