Alonso - Schumacher comme plus grand rival
Dans une vidéo proposée aujourd’hui par l’équipe Ferrari intitulée « les autres » Fernando Alonso évoque certains de ses anciens équipiers, amis, rivaux et sources d’inspiration, et donne son point de vue sur de nombreux noms croisés lors de ses 226 GP
Dans une vidéo proposée aujourd’hui par l’équipe Ferrari intitulée « les autres » Fernando Alonso évoque certains de ses anciens équipiers, amis, rivaux et sources d’inspiration, et donne son point de vue sur de nombreux noms croisés lors de ses 226 GP.
Interrogé sur celui qui fut son plus rude équipier, le Double Champion du Monde espagnol botte en touche, évoquant certaines associations de son passé Renault, tout en rappelant qu’aucun équipier n’est encore parvenu à prendre le meilleur sur lui au cours de sa carrière F1.
« C’est une question difficile. Ils étaient tous différents, avaient des points forts, et d’autres moins », commence Alonso. « J’ai eu du mal avec chacun d’entre eux en termes de performance, et ai dû donner mon maximum, parce qu’ils étaient ultra-compétitifs ».
« Je me souviens de Trulli, de ses qualités en qualifications qui étaient les meilleures. J’ai toujours réussi à prendre le dessus sur mes équipiers. Il y a ensuite eu Fisico pendant deux ans chez Renault, quand nous avons remporté le titre des Constructeurs. Il était toujours là, à chaque course, dans toutes les conditions. C’était vraiment un pilote complet. Il y a eu Massa, et maintenant Kimi. Même dans le passé, il y avait des enfants qui étaient super en karting : ce n’est donc pas facile d’en choisir un ! Tous m’ont aidé, et j’ai beaucoup appris d’eux pour gérer différent aspects ; mais ils avaient tous quelque chose de spécial ».
Au moment de désigner son plus grand rival en piste, cependant, Alonso n’hésite pas un instant, et adresse ses compliments à un pilote qui tirait régulièrement plus de sa machine, comme lui-même depuis plusieurs saisons.
« Le plus fort en F1 était Michael [Schumacher]. Lors de la saison pendant laquelle j’ai commencé en F1, en 2001, il dominait et ce fut le cas jusqu’en 2005. Il était à un autre niveau. Ce ne fut jamais facile avec lui. Ensuite, j’ai eu l’opportunité de courir contre lui de façon égale pendant quelques années et il était toujours capable de faire quelque chose de spécial. Quelque chose de plus que ce à quoi vous vous attendiez, ou plus que la voiture n’en était capable. Il fallait donc toujours garder un œil sur lui » !
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