Bilan à mi-saison : Fernando Alonso
Alternant le très bon avec deux victoires et une deuxième place, et le moins bon avec un abandon et une huitième place lors des cinq premiers Grand Prix de la saison, Fernando Alonso se voyait bien rivaliser avec Sebastian Vettel tout au long de la saison, mais après le Grand Prix de Hongrie, marquant la mi-saison, le pilote ibérique faisait grise mine
Alternant le très bon avec deux victoires et une deuxième place, et le moins bon avec un abandon et une huitième place lors des cinq premiers Grand Prix de la saison, Fernando Alonso se voyait bien rivaliser avec Sebastian Vettel tout au long de la saison, mais après le Grand Prix de Hongrie, marquant la mi-saison, le pilote ibérique faisait grise mine.
Vainqueur en Chine et chez lui en Espagne, Fernando Alonso semblait sûr de détenir la monoplace qui allait lui permettre de décrocher son premier titre avec les Rouges en début d'année. Rapide, économe avec ses pneumatiques, la Ferrari F138 s'est montrée redoutable lors des cinq premières courses de la saison, même si l'Espagnol a manqué de gros points en Malaisie et à Bahreïn.
Après les 70 tours du Grand Prix de Hongrie, le double Champion du Monde espagnol avait la tête des mauvais jours. Cinquième et loin du podium, il n'a rien pu faire face à la concurrence avec une F138 en manque de performances. Selon lui, les nouveautés apportées par Maranello lors des précédents Grands Prix ne fonctionnent pas comme elles le devraient.
En plein recalibrage de sa soufflerie à Maranello, Ferrari utilise la structure Toyota Motorsport en Allemagne afin de concevoir les nouveautés qu'elle apporte tout au long de la saison. Si les résultats semblent concluants à l'usine et dans le simulateur, c'est rarement le cas en piste, pour le plus grand désarroi de Fernando Alonso.
Malgré tout, Alonso possède encore de légères chances au Championnat. Avec 39 points de retard sur Sebastian Vettel, le Taureau des Asturies va devoir cravacher dur pour recoller au sommet de la hiérarchie mais rien n'est impossible si Ferrari parvient à régler ses problèmes. Dans la situation inverse l'an passé durant l'été, l'Espagnol disposait d'une avance semblant confortable sur Vettel. L'écart avait fondu en seulement deux épreuves...
A partir du premier septembre, l'équipe technique des Rouges sera renforcée par l'arrivée de James Allison. Après plusieurs saisons passées chez Lotus, le Britannique intégrera la Scuderia au poste de directeur technique du châssis, mais aura certainement plus une influence sur la conception de la monoplace 2014.
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