En colère, Alonso balaie les rumeurs italiennes
Nous ne vous avions pas rapport cette actualité cette semaine, et pour cause : la nouvelle, typique de la silly season, nous paraissait des plus fantasques et purement destinée à susciter des spéculations stériles et maintenir en vie les colonnes des sites les transmettant
Nous ne vous avions pas rapport cette actualité cette semaine, et pour cause : la nouvelle, typique de la silly season, nous paraissait des plus fantasques et purement destinée à susciter des spéculations stériles et maintenir en vie les colonnes des sites les transmettant. Si des contacts ont bien existé entre McLaren et Alonso ces derniers mois, la rumeur d'un échange possible Alonso/Vettel entre Ferrari et Red Bull ne valait selon pas la peine d'être colportée.
Arrivé à Singapour, Fernando Alonso a fait savoir son irritation à propos de ce tapage médiatique ayant nourri les previews du Grand Prix de Singapour.
"Je n'ai rien de nouveau à dire; bien entendu, les rumeurs sont une nouvelle fois venues d'Italie, ce qui est un petit peu triste", a commenté l'Espagnol à Sky Sports. "Nous essayons de rester unis et de marquer autant de points que possible. Je sors avec les gars pour dîner, je joue au football avec eux, et j'essaie toujours de créer la meilleure atmosphère possible.
Ces choses n'aident pas notre marque et notre équipe, elles viennent toujours d'Italie, ces rumeurs et ces choses intentionnelles. Ce n'est pas bon pour l'équipe. Si un jour, j'ai quelque chose à dire, quelqu'un ne va pas être content", a-t-il poursuivi, laissant planer une aura de mystère.
En tant que pilote de premier plan désiré sur le marché des pilotes, Alonso sait que les rumeurs font partie de la vie. Encore plus lorsque l'on pilote pour le Cheval Cabré, et que, comme Alonso, l'on court après un titre mondial depuis de très longues années.
"Je commente mon futur depuis les 13 derniers mois et je n'ai rien de nouveau à dire", a-t-il de nouveau clamé au point presse organisé par Ferrari à Singapour, ce jeudi. "C'est triste que cela vienne d'Italie. Cela créé, pour une raison étrange, des rumeurs qui n'aident pas Ferrari. Nous avons besoin d'une équipe unie. Je pense que nous connaissons le but, et un jour, nous parlerons".
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