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Ferrari assure ne pas renoncer à sa saison 2014

Le Grand Prix d’Allemagne marque le passage du cap de la mi-saison pour le plateau F1

Le Grand Prix d’Allemagne marque le passage du cap de la mi-saison pour le plateau F1. Et force est de constater que les résultats Ferrari ont été bien loin des attentes du début de saison, alors que Scuderia alignait pour la première fois deux Champions du Monde dans son line-up depuis les années 1950…

Un unique podium en tout et pour tout est venu récompenser le team de Maranello depuis l’ouverture de la saison, et Ferrari peine désormais à se donner la marge nécessaire pour décrocher la troisième place du Championnat des Constructeurs. Les troupes italiennes sont sous la menace directe de McLaren, Williams et Force India, et cela risque de ne pas changer jusqu’au terme de la saison.

Pas question d’interrompre les efforts, cependant, annonce Pedro de la Rosa, pilote de développement de la Scuderia, qui a partagé le volant de Ferrari F14-T avec Jules Bianchi lors des tests de Silverstone pour remplacer un Kimi Räikkönen se remettant de son accident du GP de Grande-Bretagne. A l’attaque de deux GP en l’espace d’une semaine seulement avant le break estival, le team de Maranello a besoin de se rassurer, et s’épargner de trop grandes spéculations concernant l’avenir de ses pilotes forcément mécontents.

« Nous avons beaucoup appris à Silverstone en réalisant un efficace programme de développement », estime Pedro de la Rosa. « Course après course, nous progressons et nous n’abandonnons pas cette année, même si nous pensons aussi déjà à 2015 », ajoute-il.

Besoin de se rassurer en deux GP

« Hockenheim est un circuit très complet, où l’on a besoin de tout sur l’auto. Il faut de la puissance, et un bon équilibre de l’auto à l’avant comme à l’arrière ainsi qu’un bon appui : en dépit du fait que la piste ne soit pas particulièrement longue, on trouve tous les types de virages », décrit l’Espagnol.

« Dans le premier secteur, par exemple, il faut un avant très rigide pour le Virage 1, sinon on y a un peu de survirage et l’on ne peut pas remettre la pleine puissance. C’est une grosse perte en vitesse de sortie ».

Une bonne traction est en revanche indispensable pour les courbes 2 et 5. « C’est en raison du fait qu’il y a les deux longues lignes droites les plus longues de la piste après ces virages, et que l’épingle du Virage 6 est une opportunité de dépassement parfaite », explique De la Rosa. « Pour le dernier secteur, il faut juste beaucoup d’appui. C’est la partie de la piste avec le plus de virages, et c’est là qu’une voiture à l’aise mécaniquement et aérodynamiquement se met en avant ».

Reste à savoir si la F14-T est l’une des celles-ci en Allemagne…

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