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GP2 - Pic a répondu à vos questions

Alors qu’il vient de remporter une nouvelle victoire en GP2 Series, Charles Pic a répondu aux questions que vous lui avez posées avant le meeting monégasque

Alors qu’il vient de remporter une nouvelle victoire en GP2 Series, Charles Pic a répondu aux questions que vous lui avez posées avant le meeting monégasque.

Que pensez-vous de la GP2/11 par rapport à celle à la GP2/08 ? (Bruno Gagliardi)

"Les deux monoplaces sont assez similaires. Cependant, il y a deux ou trois points qui diffèrent. Nous avons un peu plus d’appuis aérodynamiques, le design a évolué pour se rapprocher des nouvelles Formule 1, elle est un peu plus stable au freinage et le diffuseur est légèrement plus efficace. Mais globalement, la voiture reste la même."

Quel est ton circuit préféré ? (Bruno Gagliardi)

"J’aime bien les circuits de Barcelone, Silverstone et du Nürburgrin. En général, j’aime bien les circuits où l’on trouve de tout. Ce sont les circuits que je préfère mais après, c’est surtout une question de feeling lorsque l’on est dans la monoplace."

Après de solides performances affichées à Barcelone, penses-tu être un candidat au titre cette année ? (Charlie Gaze)

"Je vois cela différemment. Je prends les courses les unes après les autres. J’essaye de réaliser la meilleure performance possible lors de chaque course. On fera les comptes à la fin de la saison."

Que penses-tu du potentiel des jeunes français en GP2 Series et dans les autres catégories ? (Guillaume Smeekens)

"Je pense que c’est super pour la France. C’est la première année où il y a trois pilotes français compétitifs en GP2 Series. Il faut les soutenir car ils peuvent réaliser de solides performances."

Contrairement aux autres jeunes Français qui brillent dans les catégories préparant à la F1, comme Jules Bianchi, Jean-Eric Vergne ou Romain Grosjean, tu n’es pas lié à une équipe. Est-ce que cela est un désavantage actuellement ? (Mathieu Villeton)

"Je ne dirais pas que c’est un désavantage. Il y a des plus et des moins. Il est certain qu’il y a quelques inconvénients mais sur d’autres points, c’est positif. Il faudra juste voir comment la situation évolue dans le futur."

Quelle écurie de F1 vous impressionne depuis ce début de saison ? (Jérémy Saïz)

"En Formule 1, il y a toujours quatre ou cinq équipes qui se battent en tête du championnat. Cela dépend des années, lorsque quelqu’un trouve le petit détail que les autres n’ont pas. Mais je pense que, pour le travail qu’ils effectuent et le professionnalisme de chacun, elles sont toutes aussi impressionnantes les unes que les autres."

La France a-t-elle un avenir en F1, tant au niveau des pilotes que d’un Grand Prix ? (Marion Dejoie)

"Je l’espère. Il y a des beaux circuits en France et je pense qu’un Grand Prix de France manque à beaucoup de monde. J’espère que nous en aurons bientôt un. Au niveau des pilotes français, on est trois en GP2 cette année. Nous sommes tous les trois capables de nous battre aux avant-postes. Il faut nous soutenir et voir où cela nous amènera par la suite. Mais j’espère que la France a un avenir en F1."

Quel pilote pourrait t’inspirer. Un pilote du passé et un qui est encore en activité et pourquoi ? (Giusy Petrucci)

"Je pense que nous pouvons nous inspirer de beaucoup de pilotes. Chaque pilote a ses points forts et ses points faibles. Ce qui est important, c’est de faire le tri en se concentrant sur les points forts et en essayant de les assimiler pour devenir meilleur. "

Que ressens-tu lorsque tu prends un virage à plus de 250 km/h ? (Valentin Montagné)

"Lorsque l’on prend un virage à 250km/h, je pense qu’il n’y a pas trop de places pour penser à autre chose. On est vraiment concentré sur les aspects techniques de la voiture pour passer au mieux le virage. Mais à l’intérieur du cockpit, c’est une super sensation qui reste indescriptible."

Comment se passe la préparation alimentaire et physique avant un week-end de course ? (Sonia Maalem)

"C’est très important. Le but est d’arriver sur le circuit en étant en forme pour le week-end de course. Chaque pilote étant différent, il y a une infinité de préparation. Il n’y a pas de méthode précise à suivre. Plus on grandit, mieux on se connaît ce qui nous permet d’être au maximum le jour J."

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