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Présentation 2015 - Calendrier, format et équipes (1/2)

Alex Lynn, DAMS

Alex Lynn, DAMS

GP2 Series Media Service

Mitch Evans, RUSSIAN TIME
Artem Markelov, RUSSIAN TIME et Nick Yelloly, Hilmer Motorsport
Jordan King, Racing Engineering, s'arrête aux stands
Les nez DAMS
Stoffel Vandoorne, ART Grand Prix
Une voiture MP Motorsport au garage
Sergio Canamasas, MP Motorsport et Sergey Sirotkin, Rapax
GP2 - Test DRS

C’est une saison alléchante qui s’annonce en GP2 Series. Créée en 2005, la discipline aborde sa onzième campagne avec un plateau des plus relevés.

Le weekend reste organisé de la même façon : une séance d’essais libres de quarante-cinq minutes le vendredi à midi, puis une séance de qualifications de trente minutes en fin d’après-midi.

La course longue du weekend a lieu juste après les qualifications de la Formule 1. Lors de cette épreuve, à moins qu’elle ne soit perturbée par la pluie, les pilotes doivent utiliser les deux types de pneus slicks fournis par Pirelli. L’arrêt au stand obligatoire ne peut avoir lieu avant que le pilote n’ait effectué six tours.

Quant à la course sprint, elle est disputée en lever de rideau du Grand Prix, le dimanche matin. Sa grille de départ suit l’ordre d’arrivée de la course longue, mais les positions des huit premiers sont inversées.

Pas de Grand Prix d'Allemagne : seulement dix meetings ?

La course longue attribue des points selon le même barème que la Formule 1, de 25 unités au vainqueur à 1 pour le dixième. La course sprint n’en offre qu’au top 8 selon le barème suivant : 15-12-10-8-6-4-2-1. La pole position de la course du samedi permet de marquer 4 points, alors que le meilleur tour en course de chaque course en offre 2, mais le pilote en question doit s’être classé dans le top 10 de la course pour y être éligible.

Le calendrier de la saison 2015 était censé être exactement le même que celui de l’année précédente : onze manches, de Bahreïn à Abu Dhabi en passant par les divers Grands Prix européens. L'absence du Grand Prix d’Allemagne signifie toutefois qu’il ne devrait y avoir que dix meetings.

Le DRS débarque en GP2

La grande nouveauté de la saison 2015, c’est l’arrivée du DRS. Contrairement à la Formule Renault 3.5 qui utilise l’aileron arrière mobile selon un certain temps d’utilisation accordé par course (par exemple 400 secondes), le GP2 va suivre exactement les mêmes règles que la Formule 1. Le GP2 veut ainsi moderniser sa monoplace sans engendrer des coûts significatifs pour les écuries, qui se répercuteraient sur les budgets requis pour les pilotes.

Du côté des équipes, deux changements sont à noter : après avoir vendu son écurie de F1, Tony Fernandes s’est également débarrassé de son équipe de GP2, Caterham Racing. C’est Status Grand Prix qui a pris la relève ; l’écurie canadienne court également en GP3 depuis 2010.

L’équipe Russian Time reste en GP2 mais va être opérée par une nouvelle entité différente : après Motopark en 2013 et iSport en 2014, c’est Virtuosi qui gèrera l’écurie cette année. Créé en 2012 par l’homme d’affaires Declan Lohan et des membres du staff de l’ancienne équipe GP2 Super Nova, Virtuosi est basé sur le même site qu’iSport International et Comtec Racing dans le Norfolk. Svetlana Strelnikova demeure directrice d’équipe. Hilmer Motorsport a en revanche déclaré forfait pour Bahreïn

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