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Le DRS fait ses premiers tours de piste en GP3

Il est très rare pour un champion GP2 ou GP3 de reprendre le volant dans sa discipline après la fin de la saison, puisque les pilotes titrés ne peuvent plus y courir. C'est pourtant ce qu'a fait Charles Leclerc malgré son sacre en 2016.

Charles Leclerc, ART Grand Prix

GP3 Series Media Service

Charles Leclerc, ART Grand Prix
Charles Leclerc, ART Grand Prix
Charles Leclerc, ART Grand Prix
Charles Leclerc, ART Grand Prix
Charles Leclerc, ART Grand Prix
Charles Leclerc, ART Grand Prix
Charles Leclerc, ART Grand Prix

En effet, Leclerc a participé à un programme d'essais exhaustif pour développer la GP3/16 en vue de la saison prochaine : six journées d'essais (trois à Abu Dhabi, trois à Bahreïn) et 2600 kilomètres au compteur !

"Nous avons beaucoup roulé ; c'était un programme vraiment chargé !" commente l'ancien pilote ART. "Par exemple, j'ai fait 120 tours en un jour à Yas Marina. C'était une grande surprise pour moi de faire tant de tours. Physiquement, c'était très dur, mais j'étais content de travailler avec l'équipe de développement."

Le DRS va faire ses débuts en GP3 l'an prochain, et a donc fait ses premiers tours de piste au volant de la monoplace pilotée par Leclerc. Ce dernier est enthousiasmé par ce nouvel outil.

"L'un des objectifs des essais était de vérifier si le DRS apportait un avantage suffisant pour produire de bonnes batailles au freinage", explique le Monégasque. "La première option que nous avons testée ne faisait pas une énorme différence. Quand j'ai testé la deuxième option, l'amélioration était énorme. C'était remarquable à la fois à Yas Marina et à Bahreïn. Je pense qu'il y aura vraiment plus de dépassements, ce qui rendra les courses encore plus intéressantes. De mon côté, je trouve toujours ça sympa d'arriver en bout de ligne droite un peu plus vite, donc c'était fun à piloter."

Enfin, le GP3 et Pirelli ont profité de ces essais pour abattre un conséquent programme de tests pneumatiques, dans l'optique de gommes plus formatrices permettant des courses plus spectaculaires l'an prochain.

"À Bahreïn, j'ai aussi testé de nombreux composés pneumatiques différents que Pirelli voulait développer et utiliser à l'avenir. C'était vraiment une bonne expérience pour moi de voir comment travaille Pirelli et j'ai trouvé ces six jours d'essais vraiment utiles", conclut Charles Leclerc.

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