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Best of photos 2016 - La sélection de la rédaction
La rédaction de Motorsport.com France vous présente sa sélection des meilleures photos de la saison 2016. Une belle variété pour conclure l'année avant de se lancer plein gaz dans les aventures de 2017 !
Sutton Motorsport Images
Photo choisie par Jean-Philippe Vennin, responsable Rallye/IndyCar
Le premier grand vainqueur de l'année sur la scène internationale du sport auto a été Stéphane Peterhansel qui, associé à Jean-Paul Cottret, a signé au volant de sa Peugeot une sixième victoire sur quatre roues au Dakar, après en avoir remporté autant à moto. Chapeau bas.
Le premier grand vainqueur de l'année sur la scène internationale du sport auto a été Stéphane Peterhansel qui, associé à Jean-Paul Cottret, a signé au volant de sa Peugeot une sixième victoire sur quatre roues au Dakar, après en avoir remporté autant à moto. Chapeau bas.
Photo choisie par Léna Buffa, responsable Moto
On aurait bien des choix de photos pour illustrer la folie que génère Valentino Rossi. Chaque année, aux quatre coins du monde, on est témoin de scènes de liesse incomparables lorsqu'il apparaît. J'ai choisi celle-ci pour le nombre de répliques de casques au mètre carré et pour ces policiers qui, avouons-le, ont l'air complètement dépassés par la situation !
On aurait bien des choix de photos pour illustrer la folie que génère Valentino Rossi. Chaque année, aux quatre coins du monde, on est témoin de scènes de liesse incomparables lorsqu'il apparaît. J'ai choisi celle-ci pour le nombre de répliques de casques au mètre carré et pour ces policiers qui, avouons-le, ont l'air complètement dépassés par la situation !
Photo choisie par Guillaume Navarro, rédacteur en chef
J'aime cette photo pour ce qu'elle représente : un champion moto fasciné par ses pairs ayant créé l'histoire passée et présente des sports mécaniques. Jorge Lorenzo a pris l'initiative de non seulement collectionner les tenues et casques d'immenses champions, mais aussi de les partager avec d'autres passionnés en créant un musée, sorte de sanctuaire vibrant, en hommage à nos héros qui sont aussi les siens. Pour l'anecdote, Gilles Villeneuve est le seul pilote honoré dans le musée à ne pas avoir remporté de couronne mondiale : tout un symbole.
J'aime cette photo pour ce qu'elle représente : un champion moto fasciné par ses pairs ayant créé l'histoire passée et présente des sports mécaniques. Jorge Lorenzo a pris l'initiative de non seulement collectionner les tenues et casques d'immenses champions, mais aussi de les partager avec d'autres passionnés en créant un musée, sorte de sanctuaire vibrant, en hommage à nos héros qui sont aussi les siens. Pour l'anecdote, Gilles Villeneuve est le seul pilote honoré dans le musée à ne pas avoir remporté de couronne mondiale : tout un symbole.
Photo choisie par Basile Davoine, responsable de la rédaction
Beaucoup de choses réunies dans une photo. Pour moi, la victoire de Max Verstappen en Espagne, dès son premier Grand Prix avec Red Bull, a été un moment très fort. Le sentiment d'assister à quelque chose d'historique était au rendez-vous, spécialement dans les derniers tours qui l'ont vu résister à Kimi Räikkönen. Le symbole est fort, entre le plus jeune pilote du plateau et l'un des vétérans butant sur le nouveau talent de la F1.
Beaucoup de choses réunies dans une photo. Pour moi, la victoire de Max Verstappen en Espagne, dès son premier Grand Prix avec Red Bull, a été un moment très fort. Le sentiment d'assister à quelque chose d'historique était au rendez-vous, spécialement dans les derniers tours qui l'ont vu résister à Kimi Räikkönen. Le symbole est fort, entre le plus jeune pilote du plateau et l'un des vétérans butant sur le nouveau talent de la F1.
Photo choisie par Benjamin Vinel, responsable Formules de promotion
Les essais hivernaux sont toujours très attendus en termes de photos, non seulement parce que les nouvelles F1 y font leurs premiers tours de roue, mais aussi car la faible luminosité permet des photos magnifiques. Ici, la Manor MRT05, un de mes coups de cœur cette saison.
Les essais hivernaux sont toujours très attendus en termes de photos, non seulement parce que les nouvelles F1 y font leurs premiers tours de roue, mais aussi car la faible luminosité permet des photos magnifiques. Ici, la Manor MRT05, un de mes coups de cœur cette saison.
Photo choisie par Michael Duforest, responsable Multimédia
Le moment où Alexander Rossi a totalement surpris le monde du sport automobile, en remportant la 100e édition des 500 Miles d'Indianapolis. Un angle peu commun pour une photo de l'arrivée du vainqueur, qui a franchi la ligne à 215 km/h à peine !
Le moment où Alexander Rossi a totalement surpris le monde du sport automobile, en remportant la 100e édition des 500 Miles d'Indianapolis. Un angle peu commun pour une photo de l'arrivée du vainqueur, qui a franchi la ligne à 215 km/h à peine !
Photo choisie par Camille De Bastiani, graphiste
"C'est arrivé en bas de chez vous" ou comment le WRC peut rompre la monotonie du quotidien... où la perturber. Au-delà du caractère incongru de la photo, sa lumière crépusculaire, son point d'intérêt à peine visible mais souligné par le mouvement de tête de la jeune fille, et l'opposition entre deux mondes qu'elle marque en font une composition que n'auraient peut-être pas reniée certains grands peintres flamands...
"C'est arrivé en bas de chez vous" ou comment le WRC peut rompre la monotonie du quotidien... où la perturber. Au-delà du caractère incongru de la photo, sa lumière crépusculaire, son point d'intérêt à peine visible mais souligné par le mouvement de tête de la jeune fille, et l'opposition entre deux mondes qu'elle marque en font une composition que n'auraient peut-être pas reniée certains grands peintres flamands...
Photo choisie par Emmanuel Rolland, responsable GT/Tourisme
La Nordschleife est toujours un rendez-vous particulier dans la saison du WTCC. Le circuit fait le bonheur des pilotes, mais aussi des photographes. Et lorsqu'une piste légèrement humide se combine avec un rayon de soleil (une météo fréquente dans l'Eifel), cela donne un magnifique cliché.
La Nordschleife est toujours un rendez-vous particulier dans la saison du WTCC. Le circuit fait le bonheur des pilotes, mais aussi des photographes. Et lorsqu'une piste légèrement humide se combine avec un rayon de soleil (une météo fréquente dans l'Eifel), cela donne un magnifique cliché.
Photo choisie par Fabien Gaillard, journaliste
Ce cliché dit beaucoup de choses, la posture de Hamilton traduisant notamment l’abattement face à un nouveau problème mécanique, mais il montre aussi une incongruité. En effet, il s’agit d’une, sinon de la monoplace la plus performante et la plus fiable de l’Histoire de la F1 qui subit son seul abandon sur problème technique en course. C’est assurément un tournant de la saison et la fumée semble symboliser les espoirs du triple champion du monde.
Ce cliché dit beaucoup de choses, la posture de Hamilton traduisant notamment l’abattement face à un nouveau problème mécanique, mais il montre aussi une incongruité. En effet, il s’agit d’une, sinon de la monoplace la plus performante et la plus fiable de l’Histoire de la F1 qui subit son seul abandon sur problème technique en course. C’est assurément un tournant de la saison et la fumée semble symboliser les espoirs du triple champion du monde.
Photo choisie par René Fagnan, Motorsport.com Canada
Je ne suis pas fan de photos de carambolages, mais celle-ci, prise sur l’ovale de Talladega, démontre bien l’intensité des accidents qui surviennent sur les superspeedways. Ici, les voitures de Kevin Harvick, Ricky Stenhouse Jr et A.J. Allmendinger se percutent. Il est ironique de constater que, si deux voitures roulent dans la bonne direction, deux autres filent à reculons et une est perpendiculaire à la piste, le tout à plus de 300 km/h !
Je ne suis pas fan de photos de carambolages, mais celle-ci, prise sur l’ovale de Talladega, démontre bien l’intensité des accidents qui surviennent sur les superspeedways. Ici, les voitures de Kevin Harvick, Ricky Stenhouse Jr et A.J. Allmendinger se percutent. Il est ironique de constater que, si deux voitures roulent dans la bonne direction, deux autres filent à reculons et une est perpendiculaire à la piste, le tout à plus de 300 km/h !
Photo choisie par Guillaume Nédélec, journaliste
Beaucoup d'émotions en regardant cette photo de Romain Dumas et Benoît Tréluyer, après la saison 2016. Les deux derniers grands champions du Mans français, comme un au revoir. Les deux ne seront très probablement pas en lice pour la victoire au Mans l'an prochain.
Beaucoup d'émotions en regardant cette photo de Romain Dumas et Benoît Tréluyer, après la saison 2016. Les deux derniers grands champions du Mans français, comme un au revoir. Les deux ne seront très probablement pas en lice pour la victoire au Mans l'an prochain.
Photo choisie par Jean-Philippe Vennin, responsable Rallye/IndyCar
Ce qu'on ne savait pas encore en octobre était qu'au Tour de Corse, où Sébastien Ogier et Julien Ingrassia signèrent leur quatrième succès (sur six) et le cinquième de Volkswagen (sur huit) cette saison, l'engagement du constructeur en WRC en était à son crépuscule.
Ce qu'on ne savait pas encore en octobre était qu'au Tour de Corse, où Sébastien Ogier et Julien Ingrassia signèrent leur quatrième succès (sur six) et le cinquième de Volkswagen (sur huit) cette saison, l'engagement du constructeur en WRC en était à son crépuscule.
Photo choisie par Léna Buffa, responsable Moto
Trois pilotes la tête dans la bulle, pour symboliser un week-end exceptionnel à Laguna Seca. On a beau dire, ce circuit est épatant et son relief produit des scènes uniques. Je défie quiconque serait blasé par des séries qu'il jugerait devenues mornes de ne pas retrouver toute sa passion en visionnant les courses WSBK disputées cette année à Laguna, et en particulier la seconde. Les dépassements incessants, les passages du Corkscrew à trois de front, le championnat relancé… Vous ne pourrez pas rester indifférent.
Trois pilotes la tête dans la bulle, pour symboliser un week-end exceptionnel à Laguna Seca. On a beau dire, ce circuit est épatant et son relief produit des scènes uniques. Je défie quiconque serait blasé par des séries qu'il jugerait devenues mornes de ne pas retrouver toute sa passion en visionnant les courses WSBK disputées cette année à Laguna, et en particulier la seconde. Les dépassements incessants, les passages du Corkscrew à trois de front, le championnat relancé… Vous ne pourrez pas rester indifférent.
Photo choisie par Guillaume Navarro, rédacteur en chef
Ils partent tous les deux et l'équipe McLaren aura un tout autre visage sans leur présence dans le paddock. Ron Dennis et Jenson Button tournent tous deux une page de leur vie, pas forcément de gré dans le cas du premier nommé ! L'autre baignera encore dans le monde de la course et je suis impatient de savoir quel sera le prochain chapitre ; surtout avec un marché des transferts 2017-2018 s'annonçant dynamique chez Mercedes, Ferrari et possiblement Red Bull !
Ils partent tous les deux et l'équipe McLaren aura un tout autre visage sans leur présence dans le paddock. Ron Dennis et Jenson Button tournent tous deux une page de leur vie, pas forcément de gré dans le cas du premier nommé ! L'autre baignera encore dans le monde de la course et je suis impatient de savoir quel sera le prochain chapitre ; surtout avec un marché des transferts 2017-2018 s'annonçant dynamique chez Mercedes, Ferrari et possiblement Red Bull !
Photo choisie par Basile Davoine, responsable de la rédaction
Que ce moment fut incroyable... Il y avait toute la dramaturgie que Le Mans peut offrir et, sur les lieux, une stupeur et un sentiment de vivre quelque chose d'impossible. Pourtant, Kazuki Nakajima s'est bien immobilisé sur la ligne à un tour de l'arrivée, près d'un drapeau à damier qui n'aura toujours pas salué la victoire d'une Toyota au Mans. L'espace de longues minutes, j'ai eu le sentiment de partager le cauchemar de toute une équipe, les yeux embués par l'image d'un Hugues de Chaunac lui-même en larmes.
Que ce moment fut incroyable... Il y avait toute la dramaturgie que Le Mans peut offrir et, sur les lieux, une stupeur et un sentiment de vivre quelque chose d'impossible. Pourtant, Kazuki Nakajima s'est bien immobilisé sur la ligne à un tour de l'arrivée, près d'un drapeau à damier qui n'aura toujours pas salué la victoire d'une Toyota au Mans. L'espace de longues minutes, j'ai eu le sentiment de partager le cauchemar de toute une équipe, les yeux embués par l'image d'un Hugues de Chaunac lui-même en larmes.
Photo choisie par Benjamin Vinel, responsable Formules de promotion
Le Grand Prix de Pau est le joyau de la couronne en Formule 3, sur un circuit béarnais qui n'a rien à envier à Monaco. Un circuit traître, des trottoirs souvent à éviter, et cette année, une pluie qui n'a pas facilité la tâche aux jeunes loups, leur permettant toutefois de montrer l'étendue de leur talent. Avec de belles photos pour couronner le tout.
Le Grand Prix de Pau est le joyau de la couronne en Formule 3, sur un circuit béarnais qui n'a rien à envier à Monaco. Un circuit traître, des trottoirs souvent à éviter, et cette année, une pluie qui n'a pas facilité la tâche aux jeunes loups, leur permettant toutefois de montrer l'étendue de leur talent. Avec de belles photos pour couronner le tout.
Photo choisie par Camille De Bastiani, graphiste
Iannone et Lorenzo, deux pilotes aux trajectoires croisées cette saison... parfois un peu trop. Cette photo est pour moi un résumé de la saison de l'un et de l'autre : Iannone a souvent eu du mal à maîtriser sa fougue et Lorenzo a dû lutter (ici à ses dépends) plus que par le passé pour rester dans la roue des leaders.
Iannone et Lorenzo, deux pilotes aux trajectoires croisées cette saison... parfois un peu trop. Cette photo est pour moi un résumé de la saison de l'un et de l'autre : Iannone a souvent eu du mal à maîtriser sa fougue et Lorenzo a dû lutter (ici à ses dépends) plus que par le passé pour rester dans la roue des leaders.
Photo choisie par Michael Duforest, responsable Multimédia
Un angle de vue au plus près de l'action, qui nous permet de voir le travail du pilote dans les rues étroites de St. Petersburg. Une photo de champion ! Le tracé de St. Petersburg permet toujours des clichés un peu plus créatifs, avec d'un côté une portion entre les murs, et de l'autre, la ligne droite de l'aéroport, incroyablement large.
Un angle de vue au plus près de l'action, qui nous permet de voir le travail du pilote dans les rues étroites de St. Petersburg. Une photo de champion ! Le tracé de St. Petersburg permet toujours des clichés un peu plus créatifs, avec d'un côté une portion entre les murs, et de l'autre, la ligne droite de l'aéroport, incroyablement large.
Photo choisie par Emmanuel Rolland, responsable GT/Tourisme
Samedi 15 octobre à Hockenheim. Les journalistes présents sur place sont invités à une conférence de presse exceptionnelle. Timo Scheider révèle qu'il a été écarté de l'équipe Audi DTM pour 2017. Le vétéran allemand, double champion de la discipline, est ébranlé. Des sanglots dans la voix, il ne peut cacher son émotion, surtout lorsque la salle lui réserve une standing ovation.
Samedi 15 octobre à Hockenheim. Les journalistes présents sur place sont invités à une conférence de presse exceptionnelle. Timo Scheider révèle qu'il a été écarté de l'équipe Audi DTM pour 2017. Le vétéran allemand, double champion de la discipline, est ébranlé. Des sanglots dans la voix, il ne peut cacher son émotion, surtout lorsque la salle lui réserve une standing ovation.
Photo choisie par Fabien Gaillard, journaliste
L’accident en lui-même est gravé dans nos mémoires mais ce qui ne l’est pas autant est l’après. Ce moment où les caméras n’ont pas pu filmer de près la sortie d’Alonso de sa McLaren réduite à l’état d’épave. Qu’est-ce qui peut bien passer par la tête de ce double champion du monde de 34 ans quand il se retrouve le dos contre ce mur de pneus et qu’il voit de quoi il vient de sortir ? Cette photo dit tout cela, en plus d’être esthétique.
L’accident en lui-même est gravé dans nos mémoires mais ce qui ne l’est pas autant est l’après. Ce moment où les caméras n’ont pas pu filmer de près la sortie d’Alonso de sa McLaren réduite à l’état d’épave. Qu’est-ce qui peut bien passer par la tête de ce double champion du monde de 34 ans quand il se retrouve le dos contre ce mur de pneus et qu’il voit de quoi il vient de sortir ? Cette photo dit tout cela, en plus d’être esthétique.
Photo choisie par Guillaume Nédéléc, journaliste
Le Mans, c'est un ensemble de Madeleines de Proust, dont celle du samedi soir. Ici, à la sortie de la forêt, le soleil se couche, les moteurs tournent parfaitement, et l'on sent presque l'odeur des barbecues, qui remonte des campings. Vivement l'été.
Le Mans, c'est un ensemble de Madeleines de Proust, dont celle du samedi soir. Ici, à la sortie de la forêt, le soleil se couche, les moteurs tournent parfaitement, et l'on sent presque l'odeur des barbecues, qui remonte des campings. Vivement l'été.
Photo choisie par René Fagnan, Motorsport.com Canada
Superbe image, quoique terrifiante, de la Toyota Camry de Martin Truex Jr en feu après avoir été impliquée dans un accident survenu sur l’ovale de Homestead-Miami lors de la finale du Chase. Les canalisations d’essence et d’huile ont été rompues, et les fluides se sont enflammés au contact des échappements. Heureusement, Truex n’a pas du tout été blessé.
Superbe image, quoique terrifiante, de la Toyota Camry de Martin Truex Jr en feu après avoir été impliquée dans un accident survenu sur l’ovale de Homestead-Miami lors de la finale du Chase. Les canalisations d’essence et d’huile ont été rompues, et les fluides se sont enflammés au contact des échappements. Heureusement, Truex n’a pas du tout été blessé.
Photo choisie par Jean-Philippe Vennin
La majeure partie du championnat World RX a été le théâtre d'un duel au couteau entre Petter Solberg et Mattias Ekström, qui ne se sont pas lâchés aux points avant que le Norvégien et double Champion du monde en titre ne faiblisse dans la dernière partie de la saison.
La majeure partie du championnat World RX a été le théâtre d'un duel au couteau entre Petter Solberg et Mattias Ekström, qui ne se sont pas lâchés aux points avant que le Norvégien et double Champion du monde en titre ne faiblisse dans la dernière partie de la saison.
Photo choisie par Léna Buffa, responsable Moto
Un stand vide est toujours un crève-cœur, une scène à laquelle il nous est, bien entendu, impossible de nous habituer. Comment ne pas être révolté de voir un pilote, un jeune homme, plein de vie et indissociable de son sourire, un passionné qui aura investi sa vie pour aller au bout de sa passion plus que nous pourrons chacun le faire, mourir sous nos yeux ? Une profonde tristesse régnait à Barcelone ce jour-là.
Un stand vide est toujours un crève-cœur, une scène à laquelle il nous est, bien entendu, impossible de nous habituer. Comment ne pas être révolté de voir un pilote, un jeune homme, plein de vie et indissociable de son sourire, un passionné qui aura investi sa vie pour aller au bout de sa passion plus que nous pourrons chacun le faire, mourir sous nos yeux ? Une profonde tristesse régnait à Barcelone ce jour-là.
Photo choisie par Guillaume Navarro, rédacteur en chef
Comme Max Verstappen, c'est-à-dire qu'on l'adore ou qu'on le déteste, Roborace ne laissera personne insensible dans un futur proche. La série de voitures de course autonomes dressera des liens entre le monde des médias, les sports mécaniques, la technologie numérique, les constructeurs automobiles, la finance, que bien des disciplines traditionnelles n'ont ou ne provoqueront jamais. Monsieur Tout-le-monde en parlera à la machine à café du bureau et toute une génération d'enfants rêveurs des années 2020 ornera les murs de posters de ces étranges prototypes... ou des cadres numériques !
Comme Max Verstappen, c'est-à-dire qu'on l'adore ou qu'on le déteste, Roborace ne laissera personne insensible dans un futur proche. La série de voitures de course autonomes dressera des liens entre le monde des médias, les sports mécaniques, la technologie numérique, les constructeurs automobiles, la finance, que bien des disciplines traditionnelles n'ont ou ne provoqueront jamais. Monsieur Tout-le-monde en parlera à la machine à café du bureau et toute une génération d'enfants rêveurs des années 2020 ornera les murs de posters de ces étranges prototypes... ou des cadres numériques !
Photo choisie par Basile Davoine, responsable de la rédaction
La dignité du champion, vainqueur une dernière fois après avoir tout tenté, mais battu pour le titre mondial par son coéquipier Nico Rosberg. Le casque masque une expression que l'on imagine pourtant aisément. Un superbe cliché.
La dignité du champion, vainqueur une dernière fois après avoir tout tenté, mais battu pour le titre mondial par son coéquipier Nico Rosberg. Le casque masque une expression que l'on imagine pourtant aisément. Un superbe cliché.
Photo choisie par Benjamin Vinel, responsable Formules de promotion
Lorsque Valtteri Bottas pousse la Williams FW38 à la limite, la combinaison d'un blocage de roue, d'étincelles et de flou crée un cliché absolument impressionnant !
Lorsque Valtteri Bottas pousse la Williams FW38 à la limite, la combinaison d'un blocage de roue, d'étincelles et de flou crée un cliché absolument impressionnant !
Photo choisie par Michael Duforest, responsable IndyCar
Une photo vue et revue dans l'Histoire du sport automobile, mais toujours très sympathique, Sébastien Bourdais ramenant un James Hinchcliffe tombé en panne dans le dernier tour. Le Canadien se souviendra longtemps du retour de l'IndyCar à Watkins Glen !
Une photo vue et revue dans l'Histoire du sport automobile, mais toujours très sympathique, Sébastien Bourdais ramenant un James Hinchcliffe tombé en panne dans le dernier tour. Le Canadien se souviendra longtemps du retour de l'IndyCar à Watkins Glen !
Photo choisie par Emmanuel Rolland, responsable GT/Tourisme
En trois ans en WTCC, José Maria Lopez est devenu la référence de la discipline. Et un dieu vivant en Argentine. En témoigne cette photo prise après sa victoire dans la course 2 à Termas de Río Hondo.
En trois ans en WTCC, José Maria Lopez est devenu la référence de la discipline. Et un dieu vivant en Argentine. En témoigne cette photo prise après sa victoire dans la course 2 à Termas de Río Hondo.
Photo choisie par Fabien Gaillard, journaliste
Il y a peu de choses à dire sur cette photo si ce n’est qu’elle est superbe et qu’elle met bien en valeur l’une des plus belles voitures de ces dernières années, la Red Bull RB12 et sa carrosserie mate, qui se marie très bien avec le coucher de soleil rougeoyant d’Abu Dhabi.
Il y a peu de choses à dire sur cette photo si ce n’est qu’elle est superbe et qu’elle met bien en valeur l’une des plus belles voitures de ces dernières années, la Red Bull RB12 et sa carrosserie mate, qui se marie très bien avec le coucher de soleil rougeoyant d’Abu Dhabi.
Photo choisie par René Fagnan, Motorsport.com
Chase Elliott démarre en tête sur l’impressionnant superspeedway de Talladega. J’aime bien cette photo qui démontre parfaitement le rôle primordial que joue le phénomène d’aspiration sur les grands ovales ainsi que les trois trajectoires différentes que peuvent emprunter les pilotes. Le jeu est de demeurer un wagon du train durant toute la course.
Chase Elliott démarre en tête sur l’impressionnant superspeedway de Talladega. J’aime bien cette photo qui démontre parfaitement le rôle primordial que joue le phénomène d’aspiration sur les grands ovales ainsi que les trois trajectoires différentes que peuvent emprunter les pilotes. Le jeu est de demeurer un wagon du train durant toute la course.
Photo choisie par Jean-Philippe Vennin, responsable Rallye/IndyCar
Un choix purement esthétique que cette photo de Kris Meeke lors de la première étape, courue sur la terre, de la manche espagnole de la saison WRC. Mais soulignons que le Britannique fut le seul des rivaux de Sébastien Ogier à s'imposer à plus d'une reprise en 2016.
Un choix purement esthétique que cette photo de Kris Meeke lors de la première étape, courue sur la terre, de la manche espagnole de la saison WRC. Mais soulignons que le Britannique fut le seul des rivaux de Sébastien Ogier à s'imposer à plus d'une reprise en 2016.
Photo choisie par Guillaume Navarro, rédacteur en chef
Parce que, tout simplement !
Parce que, tout simplement !
Photo choisie par Basile Davoine, responsable de la rédaction
Lors de cette édition mancelle, je me souviens avoir échangé avec Marcel Fässler au sujet de cette nouvelle R18 au look radical... Trop radical ? Le pilote suisse expliquait alors à quel point les changements de pilote étaient rendus difficiles par un cockpit exigu. Malheureusement, on ne reverra plus le proto d'Ingolstadt en piste en 2017...
Lors de cette édition mancelle, je me souviens avoir échangé avec Marcel Fässler au sujet de cette nouvelle R18 au look radical... Trop radical ? Le pilote suisse expliquait alors à quel point les changements de pilote étaient rendus difficiles par un cockpit exigu. Malheureusement, on ne reverra plus le proto d'Ingolstadt en piste en 2017...
Photo choisie par Léna Buffa, responsable Moto
La victoire de Nicky Hayden à Sepang a été ma plus belle émotion de 2016. J'ai toujours admiré le talent et l'investissement de ce pilote, qui a fait de grandes choses aux États-Unis avant de faire son trou en MotoGP et de parvenir au titre suprême. Je ne suis pas étonnée de le voir s'impliquer à nouveau avec autant de professionnalisme en WSBK, où il redevient rookie. Il le sait, sa première victoire n'a qu'une valeur limitée et le travail est encore long. Il n'empêche, le voir sortir du bois sous le déluge de Sepang, prendre pour la première fois la tête d'une course WSBK et ne jamais plus la quitter jusqu'à la ligne d'arrivée, le voir tout simplement s'imposer dix ans après sa dernière victoire internationale, c'est un de ces moments qui sortent du lot dans une saison. Sur cette photo, je vois dix ans d'efforts récompensés…
La victoire de Nicky Hayden à Sepang a été ma plus belle émotion de 2016. J'ai toujours admiré le talent et l'investissement de ce pilote, qui a fait de grandes choses aux États-Unis avant de faire son trou en MotoGP et de parvenir au titre suprême. Je ne suis pas étonnée de le voir s'impliquer à nouveau avec autant de professionnalisme en WSBK, où il redevient rookie. Il le sait, sa première victoire n'a qu'une valeur limitée et le travail est encore long. Il n'empêche, le voir sortir du bois sous le déluge de Sepang, prendre pour la première fois la tête d'une course WSBK et ne jamais plus la quitter jusqu'à la ligne d'arrivée, le voir tout simplement s'imposer dix ans après sa dernière victoire internationale, c'est un de ces moments qui sortent du lot dans une saison. Sur cette photo, je vois dix ans d'efforts récompensés…
Photo choisie par Benjamin Vinel, responsable Formules de promotion
Red Bull a cette incroyable capacité à faire rouler des Formule 1 dans n'importe quel environnement. Les images de Max Verstappen pilotant la RB7 sur une piste de ski ont tout d'un photomontage, mais sont pourtant bien réelles !
Red Bull a cette incroyable capacité à faire rouler des Formule 1 dans n'importe quel environnement. Les images de Max Verstappen pilotant la RB7 sur une piste de ski ont tout d'un photomontage, mais sont pourtant bien réelles !
Photo choisie par Michael Duforest, responsable Multimédia
Un sens de calme se dégage de cette photo, alors que Marco Andretti s'engage pourtant à plus de 300 km/h dans le premier virage à Phoenix. Une image qui représente finalement assez bien la saison de Marco Andretti, seul en plein désert... De nouveaux changements dans son entourage en 2017 devraient lui permettre de remonter la pente.
Un sens de calme se dégage de cette photo, alors que Marco Andretti s'engage pourtant à plus de 300 km/h dans le premier virage à Phoenix. Une image qui représente finalement assez bien la saison de Marco Andretti, seul en plein désert... De nouveaux changements dans son entourage en 2017 devraient lui permettre de remonter la pente.
Photo choisie par Emmanuel Rolland, responsable GT/Tourisme
Voici un moment clé du championnat DTM 2016. Nous sommes sur le Hungaroring, avant-dernière étape de la saison. Vainqueur la veille, Edoardo Mortara (Audi) a considérablement réduit son retard au classement sur le leader Marco Wittmann. À nouveau en pole pour la course 2, le pilote italien a l'occasion de prendre la tête du championnat. Mais il rate son départ, et se voit débordé de toute part, heurtant dans la bousculade Wittmann lui-même qui touche à son tour l'Audi de Jamie Green. Wittmann et Green poursuivent leur chemin, Mortara doit stopper pour une crevaison. Et Wittmann sera champion en fin de saison.
Voici un moment clé du championnat DTM 2016. Nous sommes sur le Hungaroring, avant-dernière étape de la saison. Vainqueur la veille, Edoardo Mortara (Audi) a considérablement réduit son retard au classement sur le leader Marco Wittmann. À nouveau en pole pour la course 2, le pilote italien a l'occasion de prendre la tête du championnat. Mais il rate son départ, et se voit débordé de toute part, heurtant dans la bousculade Wittmann lui-même qui touche à son tour l'Audi de Jamie Green. Wittmann et Green poursuivent leur chemin, Mortara doit stopper pour une crevaison. Et Wittmann sera champion en fin de saison.
Photo choisie par Jean-Philippe Vennin, responsable Rallye/IndyCar
Principale attraction de la saison en World RX, Sébastien Loeb n'a pas manqué ses débuts au sein de l'équipe Peugeot-Hansen en remportant une victoire, prenant la mesure de son équipier vice-champion en 2015, et terminant à la cinquième place du championnat.
Principale attraction de la saison en World RX, Sébastien Loeb n'a pas manqué ses débuts au sein de l'équipe Peugeot-Hansen en remportant une victoire, prenant la mesure de son équipier vice-champion en 2015, et terminant à la cinquième place du championnat.
Photo choisie par Léna Buffa, responsable Moto
Valentino Rossi est assurément un pilote à part, tant par son palmarès déjà inscrit dans l'Histoire que par l'intérêt qu'il suscite, chez les fans comme chez les médias. Les photos permettant de saisir le travail de concentration des pilotes moto sur la grille me fascinent toujours, cette plongée en eux-mêmes, y compris chez les plus exubérants, est d'une puissance inouïe et insaisissable pour nous autres qui ne sommes pas pilotes. Mais dans le cas de Rossi, cette phase si précieuse doit se dérouler parmi d'innombrables crépitements d'appareils photo… Toujours curieux à observer.
Valentino Rossi est assurément un pilote à part, tant par son palmarès déjà inscrit dans l'Histoire que par l'intérêt qu'il suscite, chez les fans comme chez les médias. Les photos permettant de saisir le travail de concentration des pilotes moto sur la grille me fascinent toujours, cette plongée en eux-mêmes, y compris chez les plus exubérants, est d'une puissance inouïe et insaisissable pour nous autres qui ne sommes pas pilotes. Mais dans le cas de Rossi, cette phase si précieuse doit se dérouler parmi d'innombrables crépitements d'appareils photo… Toujours curieux à observer.
Photo choisie par Guillaume Navarro, rédacteur en chef
Exception à la règle : ce n'est pas une photo, mais cette illustration souligne l’intérêt croissant de constructeurs autrefois partis du sport pour une nouvelle forme d'avenir sportif sur roues. Et permet de saluer les efforts tout au long de l'année de notre designer graphique maison, devenu incontournable.
Exception à la règle : ce n'est pas une photo, mais cette illustration souligne l’intérêt croissant de constructeurs autrefois partis du sport pour une nouvelle forme d'avenir sportif sur roues. Et permet de saluer les efforts tout au long de l'année de notre designer graphique maison, devenu incontournable.
Photo choisie par Emmanuel Rolland, responsable GT/Tourisme
L'étape de la Nordchleife en WTCC est l'occasion de voir les voitures de la série mondiale de tourisme évoluer dans un contexte unique. Et c'est l'opportunité de les voir sauter les quatre roues en l'air, comme ici la Lada Vesta de Hugo Valente.
L'étape de la Nordchleife en WTCC est l'occasion de voir les voitures de la série mondiale de tourisme évoluer dans un contexte unique. Et c'est l'opportunité de les voir sauter les quatre roues en l'air, comme ici la Lada Vesta de Hugo Valente.
Photo choisie par Benjamin Vinel, responsable Formules de promotion
Le Grand Prix d'Abu Dhabi permet une grande variété de photos : de jour, au crépuscule, de nuit... Cette dernière option permet de beaux clichés, comme avec la Williams de Valtteri Bottas. Contrairement à beaucoup, je la préfère sans le rouge de Martini, avec cette livrée blanc et bleu qui lui donne une certaine pureté avec classe.
Le Grand Prix d'Abu Dhabi permet une grande variété de photos : de jour, au crépuscule, de nuit... Cette dernière option permet de beaux clichés, comme avec la Williams de Valtteri Bottas. Contrairement à beaucoup, je la préfère sans le rouge de Martini, avec cette livrée blanc et bleu qui lui donne une certaine pureté avec classe.
Photo choisie par Michael Duforest, responsable Multimédia
Spencer Pigot aura impressionné à quelques occasions par ses performances en piste, mais la livrée Samsung de sa voiture aura aidé lors des deux dernières courses de la saison ! L'Américain aura en tout cas suffisamment montré au volant de cette monoplace pour s'offrir un nouveau contrat en 2017.
Spencer Pigot aura impressionné à quelques occasions par ses performances en piste, mais la livrée Samsung de sa voiture aura aidé lors des deux dernières courses de la saison ! L'Américain aura en tout cas suffisamment montré au volant de cette monoplace pour s'offrir un nouveau contrat en 2017.
Photo choisie par Emmanuel Rolland, responsable GT/Tourisme
Une page s'est tournée fin novembre au Qatar, avec la dernière apparition en WTCC du maestro Yvan Muller. Fort de quatre titres mondiaux, et de onze années dans la discipline, le pilote tricolore se consacrera à d'autres challenges à partir de l'an prochain.
Une page s'est tournée fin novembre au Qatar, avec la dernière apparition en WTCC du maestro Yvan Muller. Fort de quatre titres mondiaux, et de onze années dans la discipline, le pilote tricolore se consacrera à d'autres challenges à partir de l'an prochain.
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