Duval - "La météo va être un gros facteur" pour la Journée Test
Audi aborde la Journée Test des 24 Heures du Mans avec confiance et optimisme, selon Loïc Duval.
#7 Audi Sport Team Joest Audi R18
Nikolaz Godet / Motorsport.com
B.D., Le Mans - Le Français s’est imposé à Spa-Francorchamps le mois dernier aux côtés de Lucas di Grassi et Oliver Jarvis et s’attend à des essais prometteurs dimanche sur le Circuit de la Sarthe.
Avec ses deux R18, Audi veut accumuler autant de kilomètres que possible et valider certains éléments en vue de la semaine de l’épreuve. Un programme qui dépendra néanmoins des conditions météo.
"Depuis Spa on a fait une simulation d’endurance", détaille Loïc Duval à Motorsport.com. "La semaine dernière, j’étais en Allemagne, on a fait un roll-out de la voiture qui a été préparée pour les tests, j’ai fait un petit peu de simulateur aussi. Ça se présente pas trop mal."
"On est assez optimistes quant à nos chances de pouvoir être performants ici, ce qui était le cas à Silverstone et moins à Spa, mais on connaît les raisons. On espère que le temps va quand même être de notre côté pour essayer d’évaluer un maximum de choses."
Validations communes
La marque aux anneaux va logiquement partager le travail entre ses deux équipages, mais idéalement chaque nouvelle validation se fera avec les deux prototypes.
"On va se répartir un peu le travail, car on a deux ou trois choses à voir", précise Duval. "On va essayer des choses différentes sur les deux voitures. Si on peut avoir une météo clémente, ça pourrait être bien pour pouvoir faire des comparaisons directes et tester un peu tout. Ce qu’on teste sur une voiture, si on le valide, on veut aussi que l’autre voiture le valide, parce qu’on veut être sûrs de nous car il y aura une évolution de la piste. La météo va être un gros facteur pour la séance de demain."
À l’instar de Porsche, Audi aura également pour mission de travailler avec deux voitures contre trois par le passé. Une légère différence qui ne devrait toutefois pas changer la donne.
"On aura un peu moins de données, mais la base de travail est à peu près la même, et ce qu’on fait sur deux voitures, on l’aurait fait à peu près de la même manière avec trois", assure Duval. "C’est sûr que si on a un souci sur une voiture, c’est des données en moins à avoir ; s’il fait sec seulement le matin, on aurait aussi eu plus d’infos avec trois voitures."
Rejoignez la communauté Motorsport
Commentez cet articlePartager ou sauvegarder cet article
Abonnez-vous pour accéder aux articles de Motorsport.com avec votre bloqueur de publicité.
De la Formule 1 au MotoGP, nous couvrons les plus grands championnats depuis les circuits parce que nous aimons notre sport, tout comme vous. Afin de continuer à vous faire vivre les sports mécaniques de l'intérieur avec des experts du milieu, notre site Internet affiche de la publicité. Nous souhaitons néanmoins vous donner la possibilité de profiter du site sans publicité et sans tracking, avec votre logiciel adblocker.
Meilleurs commentaires