Laverty - "La puissance de la Ducati, une grande aide au Mugello"

Immanquablement classé dans les points depuis le début du championnat, Eugene Laverty connaît sa plus belle série en Grands Prix et il compte bien la poursuivre sur les terres de Ducati.

Eugene Laverty, Aspar Racing Team

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Eugene Laverty, Aspar Racing Team
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Eugene Laverty, Aspar Racing Team

Au guidon de la GP14.2 préparée par le team Aspar, le pilote irlandais ne démérite pas. Il est, avec Héctor Barberá, le seul du clan Ducati à avoir vu l'arrivée de toutes les courses disputées à ce stade de la saison, mais aussi à avoir systématiquement atteint le top 15 synonyme de points. Il est également celui qui affiche le meilleur résultat brut derrière les deux podiums conquis par les pilotes officiels, grâce à la quatrième place décrochée en Argentine. Une belle série qui le positionne au neuvième rang du championnat, devant Andrea Iannone et Andrea Dovizioso.

Ce bilan, Laverty a la ferme intention de l'entretenir, à plus forte raison à l'heure où le MotoGP se déplace en Italie, un terrain de jeu qui a de quoi inspirer les Ducati. Sur un circuit qu'elle connaît parfaitement bien, la Desmosedici avait parfaitement exploité la longue ligne droite toscane l'an dernier pour établir une vitesse de pointe record de 350,8 km/h (avec la version 2015 de la moto pilotée par Iannone), battu depuis lors du Grand Prix de Losail.

"J'ai eu cinq bonnes courses, avec des arrivées dans les points, il est donc important de poursuivre cette série au Mugello", prévient Eugene Laverty. "La puissance de la Ducati, cette année, sera d'une grande aide au Mugello : le moteur est tellement important là-bas. Je vais me concentrer sur les points, ce qui commence par mieux se qualifier samedi, essayer de moins me compliquer la vie dimanche et entrer dans le top 10 en course."

"Le Mugello est un circuit naturel, comme Phillip Island, et non un circuit conçu par ordinateur. Ça monte et ça descend, avec de rapides changements de direction et différents devers. C'est vraiment fun d'y piloter ! Les fans italiens sont toujours très spéciaux au Mugello et ce sera la première fois que je vais courir en Italie au guidon d'une Ducati, alors je suis certain que j'aurai beaucoup de soutien", ajoute l'ancien pilote WSBK.

Le soutien des tifosi, il l'a déjà expérimenté notamment lors de son succès en Superbike à Monza, en 2013, au guidon d'une autre machine italienne : une Aprilia !

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