Lorenzo n'a pas pu attaquer en fin de journée

Le pilote espagnol indique qu'un problème de pneu l'a privé du time attack, ce mercredi à Phillip Island. Il concède toutefois qu'il lui faut encore globalement s'adapter à la Ducati.

Jorge Lorenzo, Ducati Team

Jorge Lorenzo, Ducati Team

Gold and Goose / Motorsport Images

Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
La moto de Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team

Jorge Lorenzo s'aventurait aujourd'hui sur un nouveau terrain de jeu au guidon de sa Ducati. Sur un circuit des plus impressionnants et sur lequel l'absence des ailerons se fait tout particulièrement sentir, le pilote espagnol poursuit méthodiquement son apprentissage et partait pour cela de la base de réglages définie à la fin de la séance de Sepang.

Cette première journée d'essais de la semaine s'est soldée pour lui par un 11e temps encore modeste, à 1"134 du leader du jour, un scénario qui ne l'exalte pas même si la journée a montré des signes plus encourageants que ce classement final.

"La journée a plutôt bien commencé, j'étais beaucoup plus proche qu'au premier jour de Sepang. On a progressé run après run", explique en effet le pilote espagnol. "Le problème c'est que pendant la dernière heure ou la dernière heure et demie, on a monté un troisième pneu arrière qui n'offrait pas les mêmes performances que les deux premiers."

"C'était dangereux dans les virages à gauche, on a donc dû s'arrêter, ne pas prendre de risques ni attaquer plus fort pour améliorer mon chrono. C'était le problème. J'étais à une demi-seconde ou six dixièmes [après les premiers runs], mais je suis finalement à 1"1 du plus rapide."

Encore besoin de s'adapter

Jorge Lorenzo a concédé deux dixièmes à son coéquipier, Andrea Dovizioso, un écart stable avec celui qu'ils affichaient déjà plus tôt dans la journée. Outre sa mésaventure finale et son impact sur sa position au classement, le pilote espagnol sait donc pertinemment qu'il lui reste un travail intense à mener afin que tous les éléments soient réunis pour lui permettre d'être aussi rapide qu'il le voudrait.

"On n'a pas testé beaucoup de choses [aujourd'hui]. On a continué à comparer l'ancienne moto et la nouvelle, même s'il n'y a pas beaucoup de différences entre elles pour le moment", explique-t-il. "La nouvelle [évolution de la GP17] paraît un peu mieux dans certains domaines, mais cela ne fait pas une énorme différence."

"On doit un peu progresser dans certains domaines. On aura des choses à tester demain et j'ai encore besoin de m'adapter un peu plus à ce que demande la moto", souligne Por Fuera, qui précise : "D'un virage à l'autre et dans les virages rapides, notre moteur reste un peu nerveux et je n'arrive pas non plus à freiner comme je le voudrais."

Il y a deux semaines, le pilote majorquin avait dit avoir subi "un choc" en reprenant la piste pour la première fois depuis le mois de novembre et en ne retrouvant pas, à Sepang, les sensations qui lui avaient plu à Valence. Il avait cependant réussi à progresser tout au long de la séance et peut donc nourrir l'espoir d'en faire de même cette semaine et de trouver peu à peu les clés d'un pilotage plus adapté à la Ducati sur cette piste spécifique.

Avec Venancio Luis Nieto

Veste à capuche Jorge Lorenzo
Veste à capuche Jorge Lorenzo, en vente sur Motorstore.com

Rejoignez la communauté Motorsport

Commentez cet article
Article précédent Márquez - "Il nous reste encore beaucoup de travail sur l'électronique"
Article suivant Crutchlow, premier pilote satellite Honda après la première journée

Meilleurs commentaires

Il n'y a pas de commentaire pour le moment. Souhaitez-vous en écrire un ?

Abonnez-vous gratuitement

  • Accédez rapidement à vos articles favoris

  • Gérez les alertes sur les infos de dernière minute et vos pilotes préférés

  • Donnez votre avis en commentant l'article

Motorsport Prime

Découvrez du contenu premium
S'abonner

Édition

France