Lorenzo : Ça n'était pas parfait, mais on progresse très vite

En dépit du fait qu'il vise à terme des performances d'un tout autre niveau, le pilote majorquin juge sa neuvième place au Grand Prix des Amériques comme un résultat encourageant.

Jorge Lorenzo, Ducati Team

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jack Miller, Estrella Galicia 0,0 Marc VDS, Jorge Lorenzo, Ducati Team
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Jorge Lorenzo, Ducati Team
Alex Rins, Team Suzuki MotoGP, Andrea Dovizioso, Ducati Team, Jorge Lorenzo, Ducati Team, Marc Marquez, Repsol Honda Team

Après une 11e position au Qatar et une chute dès l'entame de la course argentine, la Ducati de Jorge Lorenzo s'est quelque peu rapprochée des avant-postes, dimanche au Texas. Rapidement dépossédé de la sixième place par son coéquipier, le Majorquin a longtemps tenu son rang à proximité de la Ducati numéro 4, avant qu'un problème de graining ne le mette sous la menace de Danilo Petrucci et Andrea Iannone, qui ont fini par avoir le dessus en toute fin de course.

Il n'empêche que sa neuvième place, doublée d'un retard de 17"9, plus limité que ce qu'il craignait, constitue un résultat de nature à lui donner une bonne impulsion pour la saison européenne, qui débutera la semaine prochaine.

"Ce qui est important, c'est de se sentir à l'aise avec la moto, de se sentir naturel, et de pouvoir attaquer et entrer dans les virages avec confiance et agressivité. Cette course n'est pas parfaite, mais on y arrive et je suis resté derrière Andrea [Dovizioso]", retient Jorge Lorenzo. "Il est dans le team depuis cinq ans, alors il connaît parfaitement la moto et moi pas encore. Tant que j'avais du pneu à l'avant j'ai pu rester là, qui plus est sur une piste qui n'est pas parmi mes favorites."

Rendez-vous à Jerez

"Je pense donc qu'à Jerez on va encore progresser", poursuit le triple Champion du monde, vainqueur en titre du Grand Prix d'Espagne. "C'est l'une de mes pistes préférées. Ça n'est malheureusement pas le cas de Ducati, mais on peut compenser cela avec mon pilotage et si j'y mets un peu plus du mien."

La première manche européenne de la saison est en effet un rendez-vous plutôt délicat pour Ducati, qui n'y a plus trouvé la voie du top 3 depuis six ans. Depuis le début de l'ère Dall'Igna, le constructeur de Borgo Panigale n'y a été récompensé que, au mieux, d'un top 5 acquis modestement il y a trois ans. Une nouvelle arrivée parmi les cinq premiers était envisageable l'an dernier, avant qu'un problème technique ne stoppe Dovizioso.

"Jerez sera difficile parce que c'est historiquement l'une des pires pistes pour Ducati, mais en MotoGP on ne sait jamais", souligne Jorge Lorenzo, prêt à compenser l'infériorité de la GP17 sur cette piste amie. "On progresse très vite et Jerez est l'un de mes circuits préférés, l'un de ceux sur lesquels j'ai le plus gagné, alors j'y mettrai probablement plus de moi. Le Mans fait aussi partie de mes pistes préférées et c'est une bonne piste pour Ducati, alors j'y vais l'esprit libéré."

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