Résumé de qualifications

Un manque de performance "incompréhensible" pour Muller

Huiutième seulement des qualifications sur le Hungaroring, Yvan Muller (Citroën) n’a jamais semblé en mesure de jouer les premiers rôles, une semaine après avoir signé la pole en Slovaquie.

Yvan Muller, Citroën World Touring Car Team, Citroën C-Elysée WTCC

Yvan Muller, Citroën World Touring Car Team, Citroën C-Elysée WTCC

FIA WTCC

Yvan Muller, Citroën World Touring Car Team, Citroën C-Elysée WTCC
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Engineers of Citroën World Touring Car Team
Yvan Muller, Citroën World Touring Car Team, Citroën C-Elysée WTCC
Yvan Muller, Citroën World Touring Car Team, Citroën C-Elysée WTCC

Après deux premières manches difficiles au Castellet puis sur le Slovakiaring, le quadruple champion du monde de la discipline entendait bien revenir aux affaires en Hongrie, alors que les Citroën, seules voitures lestées lors du début de saison avec un surpoids de 80 kg imposé par le règlement, voyaient leurs rivaux écoper à leur tour d’un lest pour le Hungaroring (70 kg pour les Honda, 50 kg pour les Volvo).

Pourtant, alors que son équipier José Maria Lopez parvenait à tirer son épingle du jeu lors des qualifications, le pilote argentin concluant même avec une nouvelle pole position, Yvan Muller peinait à se mettre dans le rythme, et ce dès le début de séance. Le Français manquait même de passer à la trappe dès Q1, ne signant que le 12e meilleur chrono, et arracher l’ultime place qualificative pour Q2.

Là, Muller ne parvenait pas à hausser son niveau de performance au volant de sa C-Elysée officielle, et devait se contenter du 8e rang. Petite consolation pour le pilote français, qui s’élancera de la 3e place sur la grille pour la course d’ouverture, grâce à la règle de la grille inversée.

"Je ne peux pas être satisfait de ces qualifications", constatait-il amèrement à l’issue des qualifications. "Je n’ai jamais réussi à trouver un équilibre qui me convienne. Au début des essais libres, j’avais beaucoup de survirage que nous avons progressivement supprimé. Mais cet après-midi [hier], j’étais confronté à un fort sous-virage".

"C’est assez incompréhensible, probablement lié à une évolution de la piste qui allait à l’inverse de notre travail", continue Muller. "Je vais faire de mon mieux en course, j’ai une bonne position sur la grille de la première course et je peux viser un résultat intéressant pour l’équipe". 

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