Lawson, Bearman et Russell ont roulé à Monza et Fiorano

Pirelli était sur plusieurs fronts cette semaine en Italie, donnant du même coup du temps de piste avec les F1 actuelles à Liam Lawson et Oliver Bearman.

Liam Lawson, Red Bull Racing, lors d'essais Pirelli à Monza
George Russell, Mercedes, Test Pirelli Monza
Liam Lawson, Red Bull Racing, Test Pirelli Monza
George Russell, Mercedes, Test Pirelli Monza
Liam Lawson, Red Bull Racing, Test Pirelli Monza
Liam Lawson, RB F1 Team
Oliver Bearman, Ferrari SF-24
Liam Lawson, RB F1 Team
Liam Lawson, RB F1 Team
Liam Lawson, RB F1 Team
Liam Lawson, RB F1 Team
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Quatre écuries et trois pilotes étaient sur le pont en milieu de semaine, sur deux circuits différents. Dans la foulée du Grand Prix d'Italie et avant de prendre la direction de l'Azerbaïdjan, Pirelli avait programmé deux journées d'essais destinées au travail sur les pneus pour la saison prochaine. Si leur construction a été homologuée le 1er septembre, la définition des composés fait encore l'objet de tests.

Mardi, sur l'Autodromo Nazionale di Monza, ce sont Mercedes et Red Bull qui se sont mis au service de Pirelli. George Russell a parcouru 127 tours au volant de la W15, soit une distance équivalente à plus de deux Grands Prix, et Liam Lawson, dans le baquet de la RB20, en a bouclé 104.

La pluie est tombée sur le tracé lombard dans la nuit de mardi à mercredi et la piste est restée humide pendant la majeure partie de la matinée. Pour cette deuxième journée, Liam Lawson était à nouveau sollicité, cette fois avec la monoplace de l'équipe Visa Cash App RB. Entre le roulage en intermédiaires et un problème technique survenu en début d'après-midi, ce ne sont que 76 tours qui ont été réalisés par le Néo-Zélandais, attendu sur la grille 2025.

Rappelons que sur l'ensemble de l'année, Pirelli dispose de 40 journées d'essais (avec une monoplace). À Monza, le programme du manufacturier italien s'est essentiellement concentré sur les gommes les plus tendres (C3, C4 et C5).

Parallèlement à ces essais, Pirelli a également organisé mercredi une séance d'essais avec Ferrari, à Fiorano. Ce test était consacré au développement de nouvelles solutions pour les pneus pluie et intermédiaires, sur un tracé équipé d'un système d'arrosage artificiel. C'est au réserviste Oliver Bearman qu'a été confiée la SF-24 et, après une mise en place sur le sec, il a accumulé un total de 167 tours.

Le Britannique a ainsi pu retrouver le rythme au volant d'une F1, lui qui sera titularisé chez Haas en 2025 et qui est fortement pressenti pour participer au Grand Prix d'Azerbaïdjan avec l'écurie américaine, privée de Kevin Magnussen qui sera suspendu.

Pour Pirelli, les semaines à venir seront chargées. Les prochains essais auront lieu les 17 et 18 septembre sur le circuit de Barcelona-Catalunya, en Espagne, où les premiers pneus prototypes pour 2026 feront leur apparition. Ce sera avec le soutien d'Aston Martin, qui fournira une monoplace AMR23 de la saison passée, modifiée pour accueillir ces montes de nouvelle dimension (toujours en 18 pouces mais plus étroits).

Les 1er et 2 octobre, sur le circuit de Nevers Magny-Cours, Pirelli travaillera avec Mercedes sur la suite des essais pour 2025.

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