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FR 3.5 - Le Journal de Bord de Nathanaël Berthon

Après avoir réalisé un bon week-end de course à Silverstone, Nathanel Berhont a vécu un meeting à domicile plus que difficile

Après avoir réalisé un bon week-end de course à Silverstone, Nathanel Berhont a vécu un meeting à domicile plus que difficile.

Son cauchemar a débuté lors des qualifications et a conditionné son week-en. Malgré une belle course, où il avait terminé dans les points, Berthon a été déclassé pour avoir couper une chicane.

"Quelle douche froide ! Moins d’un mois après mon retour aux avant-postes et mon podium à Silverstone, me voilà redescendu en enfer. Je n’aurais jamais cru revivre les moments les plus noirs de la saison 2011, et je me demande si celui du Paul Ricard n’a pas été le pire de tous ! OK, Le tracé du Castellet n’est peut- être pas mon préféré, la piste était très glissante, même sur le sec, et il a aussi fallu composer avec le trafic, mais comment expliquer que je sois dans le coup fin août et à la rue mi-septembre ? Franchement, je n’y comprends rien," a déclaré Berthon.

"Dès le début, ce meeting a été un véritable cauchemar. Le premier jour, sur le sec, j’avais l’impression à chaque tour que la voiture n’était jamais la même. En Qualif 1, je me suis livré comme jamais, mais l’auto était tellement inconduisible que j’ai commis deux ou trois petites fautes, ce qui ne m’arrive pas d’habitude. Cela n’allait pas mieux en course : hallucinant ! Pourtant, je me suis bien battu, en donnant le meilleur de moi-même. A un moment, en pleine bagarre, j’ai été contraint de couper la chicane, mais j’ai rendu la place au tour suivant. Cela ne les a pas empêché de me coller 10 secondes de pénalisation. Sergio Canamasas, lui, avait délibérément court-circuité la chicane au départ sans encourir la moindre sanction. Ce ne devait pas être mon jour !"

"Le positif, dans l’histoire, c’est que samedi j’arrive quand même à terminer dans le top 10 avec une voiture très mal équilibrée. Nous avons constaté après coup que je n’avais ni les mêmes ressorts, ni la même barre, ni la même hauteur de caisse que mon équipier, Daniel Ricciardo... Autres motifs de satisfaction, malgré le fait que je n’ai jamais connu le moindre répit, je ne me suis jamais senti fatigué le moins du monde après ces deux courses très dures. Et dimanche, je ne pouvais guère espérer mieux : 14e après être parti dernier. En signant mon meilleur tour à 3/10e de celui de Daniel, qui termine 2e..."

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