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Red Bull aborde le Grand Prix de Turquie avec confiance

Fabrice Lom, qui supervise les activités de Renault F1 au sein de Red Bull Racing, évoque le Grand Prix de ce week-end, en Turquie

Fabrice Lom, qui supervise les activités de Renault F1 au sein de Red Bull Racing, évoque le Grand Prix de ce week-end, en Turquie.

Fabrice, quel bilan tirez-vous de la première course européenne ?


On a pu voir que les moteurs ont souffert en Espagne puisque plusieurs pilotes ont dû abandonner en course. Pour nous, malgré la course difficile de David perturbée par les différents safety-car et son accrochage avec Glock, cela reste un week-end positif. Nous avons repris une place au championnat grâce aux quatre points marqués par Mark or dans le contexte actuel, où la compétition fait rage, chaque point a son importance ! Nous avons bien progressé ce week-end, apparemment plus que nos concurrents directs que sont Toyota et Williams, c’est donc encourageant pour la suite du championnat.

Le nouveau rendez-vous est donné en Turquie, ce week-end. Un circuit exigeant pour le bloc moteur ?


La Turquie est un circuit relativement dur pour les moteurs avec une assez longue période de pleine charge ce qui est toujours un défi pour le motoriste. Mais le fait le plus caractéristique de ce Grand Prix est sans doute la poussière terreuse très fine que l’on a du mal à arrêter, même avec nos filtres, et qui a tendance à polluer le moteur. C’est toujours un paramètre sur lequel nous sommes particulièrement vigilants, notamment en début de week-end. Ce Grand Prix de Turquie représente donc un challenge intéressant à plusieurs niveaux pour notre équipe de motoristes.

Disputé habituellement en été, le Grand Prix de Turquie est cette année beaucoup plus tôt dans le calendrier. Cela change-t-il votre approche ?


Il ne devrait apparemment pas faire trop chaud, du moins pas autant que lors des éditions précédentes mais cela ne change pas particulièrement notre travail de préparation pour ce Grand Prix. David aura à disputer le deuxième Grand Prix de son bloc moteur, alors que Mark aura un moteur neuf. Il y a dans les deux cas des avantages et des inconvénients mais puisque nous serons ensuite à Monaco, l’impact du cycle de vie moteur est sans doute un peu plus fort que d’habitude avec un avantage à celui qui a un moteur neuf ici. La Turquie est un circuit très intéressant pour les pilotes et les ingénieurs, nous sommes impatients d’y être !

Source : ING Renault F1 Team

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