Max Chilton s'attend à de meilleurs résultats en 2018
Pilote du Chip Ganassi Racing en IndyCar depuis l'année dernière, le Britannique connaît une adaptation difficile aux monoplaces américaines.
Photo de: Perry Nelson / Motorsport Images
Dix-neuvième du championnat 2016, 18e du présent exercice, Max Chilton connaît des débuts difficiles au sein de l'une des équipes les plus puissantes de l'IndyCar. Le Britannique ne s'inquiète pas toutefois, et il s'attend à connaître de biens meilleurs résultats une fois la saison 2018 lancée.
"Je ne sais pas combien de temps je resterai en IndyCar, mais j'aime avoir un plan et je pense que l'an prochain sera l'année où les gens se diront qu'il y a de grandes améliorations", a-t-il déclaré à Motorsport.com. "En général, j'ai besoin de trois ans. La première fois, je montre un peu de vitesse, mais je n'ai pas de résultats, la deuxième année je récolte quelques résultats et la troisième année, je joue devant."
L'ancien pilote de Formule 1 (deux saisons avec Marussia, en 2013 et 2014) a en effet appliqué ce principe à deux catégories junior : "En British F3, j'étais devant lors de ma troisième année, je me battais avec mon équipier Daniel Ricciardo pour des poles et des victoires. Lors de ma troisième saison en GP2, j'ai gagné deux courses et fini quatrième du championnat. C'est la vitesse à laquelle j'apprends !"
En 18 départs en IndyCar, Chilton a croisé la ligne d'arrivée dans le top 10 à deux reprises, à Phoenix et à Watkins Glen en 2016. Une septième place comme premier résultat sur ovale laissait espérer de bonnes choses pour la suite de la saison, mais le pilote de la #8 n'a pas pu confirmer par la suite.
La GT-R LM Nismo "pas vraiment une voiture de course"
Sur le long terme, le frère du pilote de tourisme Tom Chilton se voit poursuivre sa carrière en Endurance, lui qui faisait notamment partie du projet Nissan GT-R LM NISMO au cours des 24 Heures du Mans 2015.
"Quand j'étais en F1, les journalistes me demandaient toujours ce qui viendrait ensuite, et je répondais Le Mans. C'est à ce moment que l'opportunité Nissan est arrivée, j'étais très excité, mais soyons francs, ça n'était pas vraiment une voiture de course. J'aimerais vraiment y retourner dans de bonnes conditions."
Propos recueillis par David Malsher
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