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Rachat de Lotus par Renault - Ecclestone attend une décision cette semaine

Pastor Maldonado, Lotus F1 E23

Photo de: XPB Images

Bernie Ecclestone
Romain Grosjean, Lotus F1 E23
Cyril Abiteboul, Directeur Renault Sport F1
Pastor Maldonado, Lotus F1 E23
Pastor Maldonado, Lotus F1 E23

Bernie Ecclestone s’attend à une décision de Renault cette semaine quant au rachat ou non de l’écurie Lotus F1 Team. 

Des discussions sont en cours depuis un certain temps, et il est entendu que le PDG de Renault, Carlos Ghosn, prendra une décision finale après avoir passé en revue les différentes options. La situation est compliquée par le fait que la plupart des dettes de l’équipe sont en réalité des prêts contractés auprès du principal actionnaire de Lotus, Genii Capital. 

Ennuis financiers

Lotus est cependant sous une forte pression pour résoudre ses problèmes financiers. En Hongrie, Pirelli n’a fourni les pneumatiques à l’équipe que 50 minutes avant le début des premiers essais libres, suite à un retard de paiement. 

"Nous réglons les choses progressivement", a révélé Bernie Ecclestone à Motorsport.com. "D’ici cette semaine nous saurons quelle voie est empruntée. J’espère qu’ensuite nous saurons si Renault les rachète, ou ce qui arrivera."

Interrogé sur l’existence d’un plan B pour Renault si le rachat de Lotus n’est pas concrétisé, Ecclestone se montre confiant : "A moitié. Je crois que nous avons les choses plus ou moins sous contrôle."

Revenus à négocier

Ecclestone a également confirmé qu’une prise de contrôle de l’équipe Lotus par Renault ne garantirait pas automatiquement le versement de primes supplémentaires basées sur ses performances passées et son bilan historique. Mais il a ajouté qu’en tant que constructeur, il y a un potentiel pour obtenir plus sur la base des résultats futurs que si l’équipe restait indépendante.

"Ils doivent faire ce que tous les autres font. Ils achètent une équipe, ils prennent le contrôle d’une équipe. Si vous avez pris le contrôle d’une équipe pour mettre votre nom, en étant un constructeur, nous regardons les choses un peu différemment. Renault se détacherait mieux que si c’était une personne privée, car c’est un constructeur."

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